Paragraphe 68
68
- Hé, mais c'est la chambre de quelqu'un ! s'étonne votre allié.
- Je sais.
- Si je comprends bien, tu veux y entrer par effraction ? Pourquoi veux-tu prendre ce risque ? Si quelqu'un arrivait dans le couloir...
- J'ai mes raisons.
Et vous sortez de votre chambre. Bernie vous retient par l'épaule :
- Attends, vieux ! Tu veux pas me dire ce que tu cherches, ok. Mais pour ce genre de tâches, laisse-moi faire, ça vaudra mieux.
Sur son injonction, vous demeurez caché dans l'embrasure de votre porte tandis que, après s'être assuré qu'il n'y a personne en vue, il gagne la porte d'à côté et y frappe.
- Service de chambre, s'il vous plaît ! annonce-t-il.
Personne ne répond. La chambre doit être inoccupée. Il en tourne la poignée : c'est fermé. Il sort alors une sorte de crochet de sa poche et entreprend de crocheter la serrure. Même pas dix secondes après, il vous fait signe de vite venir le rejoindre à l'intérieur. Vous vous hâtez d'entrer et vous tirez la porte derrière vous.
A l'intérieur, vous reconnaissez tout de suite la chambre de votre flash-back ; c'est bien ici que la scène s'est passée. Mais il y a eu du changement depuis votre dernière "visite".
- Qu'est-ce qui peut bien t'intéresser ici ? s'étonne Bernie. Cette chambre est vide.
En effet, la pièce a été vidée, la personne qui l'occupait a fait ses valises. Vous jetez un oeil sous le lit par acquis de conscience mais non, il n'y a plus rien. L'occupant à tout pris avec lui, à l'exception sans doute de l'attaché-case que vous lui avez dérobé. Pour en connaître un peu plus sur cet épisode de votre vie, il vous faudrait savoir ce que vous en avez fait.
Bernie comprend que quelque chose cloche. De plus en plus nerveux, il vous presse de partir sans attendre. Comme il n'y a plus rien à voir ici, vous signifiez votre accord d'un signe de tête. Vous sortez et regagnez votre chambre, pendant qu'il profite que le couloir soit désert pour refermer à clef la porte n°207. Vous avez également fait le tour de votre chambre.
Il ne vous reste plus qu'à redescendre au 651.
- Je sais.
- Si je comprends bien, tu veux y entrer par effraction ? Pourquoi veux-tu prendre ce risque ? Si quelqu'un arrivait dans le couloir...
- J'ai mes raisons.
Et vous sortez de votre chambre. Bernie vous retient par l'épaule :
- Attends, vieux ! Tu veux pas me dire ce que tu cherches, ok. Mais pour ce genre de tâches, laisse-moi faire, ça vaudra mieux.
Sur son injonction, vous demeurez caché dans l'embrasure de votre porte tandis que, après s'être assuré qu'il n'y a personne en vue, il gagne la porte d'à côté et y frappe.
- Service de chambre, s'il vous plaît ! annonce-t-il.
Personne ne répond. La chambre doit être inoccupée. Il en tourne la poignée : c'est fermé. Il sort alors une sorte de crochet de sa poche et entreprend de crocheter la serrure. Même pas dix secondes après, il vous fait signe de vite venir le rejoindre à l'intérieur. Vous vous hâtez d'entrer et vous tirez la porte derrière vous.
A l'intérieur, vous reconnaissez tout de suite la chambre de votre flash-back ; c'est bien ici que la scène s'est passée. Mais il y a eu du changement depuis votre dernière "visite".
- Qu'est-ce qui peut bien t'intéresser ici ? s'étonne Bernie. Cette chambre est vide.
En effet, la pièce a été vidée, la personne qui l'occupait a fait ses valises. Vous jetez un oeil sous le lit par acquis de conscience mais non, il n'y a plus rien. L'occupant à tout pris avec lui, à l'exception sans doute de l'attaché-case que vous lui avez dérobé. Pour en connaître un peu plus sur cet épisode de votre vie, il vous faudrait savoir ce que vous en avez fait.
Bernie comprend que quelque chose cloche. De plus en plus nerveux, il vous presse de partir sans attendre. Comme il n'y a plus rien à voir ici, vous signifiez votre accord d'un signe de tête. Vous sortez et regagnez votre chambre, pendant qu'il profite que le couloir soit désert pour refermer à clef la porte n°207. Vous avez également fait le tour de votre chambre.
Il ne vous reste plus qu'à redescendre au 651.