Paragraphe 89
89
Vous renversez par terre le contenu de la corbeille et défroissez les papiers un par un. Ils vous paraissent tous aussi inintéressants les uns que les autres : il y a des suites de chiffres sans significations, des gribouillis illisibles, des publicités... Vous tombez alors sur un papier qui attire votre attention ; il y est écrit dessus, à l'encre noire : "TAXI DÉSIRÉ : 079 999 34 17". Puis, rajouté au crayon à papier à côté, avec une autre écriture : "Ne plus appeler". Il s'agit certainement d'un numéro de téléphone.
Avec horreur, vous entendez par l'escalier que les policiers enfoncent la porte d'entrée du bar et pénètrent à l'intérieur. Vous ne pouvez plus redescendre au rez-de-chaussée, à présent. Vous n'avez plus de temps à perdre et accélérez le mouvement. Vous défripez les autres feuilles. Encore des papiers sans intérêt, sauf peut-être le dernier papier que vous regardez : une reconnaissance de dette. Elle est au nom d'une Elisabeth Gentric, elle est d'un montant de 800FS et quelqu'un l'a barrée d'un trait rouge avant d'écrire : "Acquittée par V. Vogel".
Soudain, vous entendez des craquements de planche venir du couloir. Cela vient de l'escalier en bois qui mène à cet étage. Les agents sont en train de monter ! Il ne faut pas qu'ils vous trouvent en train de fouiller les papiers d'un cadavre. Remarquant que, de l'intérieur, la porte de ce bureau est munie d'un verrou, vous allez vite la fermer et le tirez. Vous êtes coincé dans cette pièce, en compagnie d'un macchabée peu boute-en-train, et vous disposez de quelques dizaines de secondes tout au plus avant que les policiers ne fassent irruption ici.
Vous allez tout de suite à la porte-fenêtre du fond et en relevez le store métallique. Elle donne sur un balcon qui, à votre soulagement, comporte une issue : une petite échelle permettant d'accéder au toit du bâtiment.
Allez-vous :
Examiner le cadavre ? (rendez-vous au 826)
Fouiller le bureau ? (rendez-vous au 553)
Jeter un oeil au coffre-fort forcé ? (rendez-vous au 1237)
Ouvrir l'autre armoire, restée close ? (rendez-vous au 507)
Sortir de là par la porte-fenêtre ? (rendez-vous au 594)
Avec horreur, vous entendez par l'escalier que les policiers enfoncent la porte d'entrée du bar et pénètrent à l'intérieur. Vous ne pouvez plus redescendre au rez-de-chaussée, à présent. Vous n'avez plus de temps à perdre et accélérez le mouvement. Vous défripez les autres feuilles. Encore des papiers sans intérêt, sauf peut-être le dernier papier que vous regardez : une reconnaissance de dette. Elle est au nom d'une Elisabeth Gentric, elle est d'un montant de 800FS et quelqu'un l'a barrée d'un trait rouge avant d'écrire : "Acquittée par V. Vogel".
Soudain, vous entendez des craquements de planche venir du couloir. Cela vient de l'escalier en bois qui mène à cet étage. Les agents sont en train de monter ! Il ne faut pas qu'ils vous trouvent en train de fouiller les papiers d'un cadavre. Remarquant que, de l'intérieur, la porte de ce bureau est munie d'un verrou, vous allez vite la fermer et le tirez. Vous êtes coincé dans cette pièce, en compagnie d'un macchabée peu boute-en-train, et vous disposez de quelques dizaines de secondes tout au plus avant que les policiers ne fassent irruption ici.
Vous allez tout de suite à la porte-fenêtre du fond et en relevez le store métallique. Elle donne sur un balcon qui, à votre soulagement, comporte une issue : une petite échelle permettant d'accéder au toit du bâtiment.
Allez-vous :
Examiner le cadavre ? (rendez-vous au 826)
Fouiller le bureau ? (rendez-vous au 553)
Jeter un oeil au coffre-fort forcé ? (rendez-vous au 1237)
Ouvrir l'autre armoire, restée close ? (rendez-vous au 507)
Sortir de là par la porte-fenêtre ? (rendez-vous au 594)