Paragraphe 136
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Comme vous l'avez déjà fait, vous contournez la surveillance policière en passant par les garages souterrains de l'immeuble, dont vous ouvrez le portail à l'aide du bip que Tess vous a donné. Vous prenez l'ascenseur jusqu'à son palier. Lorsque vous arrivez devant la porte de son appartement, vous vous apercevez qu'elle est entr'ouverte. Craignant le pire, vous vous précipitez à l'intérieur. C'est alors qu'un homme vous plaque au sol, tandis qu'un autre vous colle son revolver contre la joue avant que vous n'ayez eu le temps de vous débattre.
- Police ! On ne bouge plus, mon pote !
Des inspecteurs de police ! Vous avez fait une belle bêtise de revenir ici. Le voisin de Tess n'a pas été convaincu par ses explications quant au tumulte de l'autre nuit. Quand il a entendu le matin quelqu'un sortir de l'appartement, il a ouvert sa porte et vous a vu. Il a sur le champ alerté la police, qui est venue perquisitionner l'endroit. Ils n'ont pas manqué de découvrir le cadavre du tueur dans le placard. Des inspecteurs ont été laissés là depuis pour attendre le retour de le résidente.
- La miss Gentric n'est pas encore reparue, vous apprend celui qui vous passe les menottes, mais nous avons pêché un plus gros poisson : l'homme du portrait-robot recherché par toute la police du canton dans le cadre de l'affaire Vogel. Le commissaire va nous encenser tellement il tenait à ta capture !
- Tu ne laisses que des cadavres dans ton sillage, ma parole ! vous houspille son collègue. Vogel et la serveuse ne t'ont pas suffi, il a fallu que tu butes ce type, celui qu'on a trouvé dans le placard ici. Tu vas passer un sacré bout de temps derrière les barreaux !
Vous leur clamez qu'ils se trompent complètement sur vous, mais cela ne leur fait ni chaud ni froid. Ils vous fouillent sans ménagements et s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices. Un fourgon passe bientôt vous chercher et êtes emmené sous bonne garde au commissariat. Sans bien réaliser ce qu'il vous arrive, vous êtes jeté dans une cellule.
Si vous avez le mot-code JEUSOI ou VENSOI, rendez-vous au 598.
Si vous n'avez aucun de ces mots, rendez-vous au 285.
- Police ! On ne bouge plus, mon pote !
Des inspecteurs de police ! Vous avez fait une belle bêtise de revenir ici. Le voisin de Tess n'a pas été convaincu par ses explications quant au tumulte de l'autre nuit. Quand il a entendu le matin quelqu'un sortir de l'appartement, il a ouvert sa porte et vous a vu. Il a sur le champ alerté la police, qui est venue perquisitionner l'endroit. Ils n'ont pas manqué de découvrir le cadavre du tueur dans le placard. Des inspecteurs ont été laissés là depuis pour attendre le retour de le résidente.
- La miss Gentric n'est pas encore reparue, vous apprend celui qui vous passe les menottes, mais nous avons pêché un plus gros poisson : l'homme du portrait-robot recherché par toute la police du canton dans le cadre de l'affaire Vogel. Le commissaire va nous encenser tellement il tenait à ta capture !
- Tu ne laisses que des cadavres dans ton sillage, ma parole ! vous houspille son collègue. Vogel et la serveuse ne t'ont pas suffi, il a fallu que tu butes ce type, celui qu'on a trouvé dans le placard ici. Tu vas passer un sacré bout de temps derrière les barreaux !
Vous leur clamez qu'ils se trompent complètement sur vous, mais cela ne leur fait ni chaud ni froid. Ils vous fouillent sans ménagements et s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices. Un fourgon passe bientôt vous chercher et êtes emmené sous bonne garde au commissariat. Sans bien réaliser ce qu'il vous arrive, vous êtes jeté dans une cellule.
Si vous avez le mot-code JEUSOI ou VENSOI, rendez-vous au 598.
Si vous n'avez aucun de ces mots, rendez-vous au 285.