Paragraphe 261
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Le corridor débouche sur la salle principale de l'établissement, celle dévolue à la clientèle. Elle est plongée dans une semi pénombre, et elle est complètement vide. Le bar doit être fermé à cette heure, ou alors tous les clients ont fui, le barman y compris. Le Chicago Ace mérite son nom : il reproduit assez fidèlement le style de bar que l'on voit dans les films de gangsters américains des années 30. Mais vous n'avez pas le temps d'admirer la décoration : la pièce est déjà baignée dans la lumière bleue intermittente des gyrophares, via la vitrine du bar, qui occupe tout le fond de la pièce. La police ! Elle est déjà là ! Ses voitures viennent de s'arrêter devant le bistrot et elles semblent très nombreuses. Vous êtes pris au piège ici. Par où fuir ?
Impossible par la porte d'entrée du bar, qui s'ouvre à droite de la baie vitrée ; c'est par là que vont débarquer les agents d'ici quelques minutes. Vous regardez autour de vous à la recherche d'une autre sortie. La grande salle semble avoir été le théâtre d'une bagarre. Des tables et des chaises sont renversées, des morceaux de cendriers cassés jonchent le sol, et vous relevez plusieurs impacts de balles sur les murs et sur les boiseries.
Tout de suite à votre gauche, avant d'entrer dans cette grande pièce, un petit renfoncement donne sur deux portes, toutes les deux béantes. Celle de droite donne sur un escalier qui descend vers le sous-sol, celle de gauche sur un escalier qui monte à l'étage. La serrure de celle de gauche est complètement détruite, comme si on avait tiré dessus à bout portant. Malgré la pénombre, vous remarquez un appareil noir fixé au plafond juste avant ces deux portes. Il s'agit d'une caméra. Tournée vers le sol, elle ne peut louper aucune personne qui viendrait de la salle commune ou du couloir des cuisines et qui souhaiterait se rendre à l'une des deux portes. Vous allez devoir passer devant son objectif si vous souhaitez franchir l'une de ces portes.
Si vous prenez la porte de droite pour descendre au sous-sol, rendez-vous au 544.
Si vous prenez la porte à la serrure brisée pour monter à l'étage, rendez-vous au 933.
Si vous rebroussez chemin dans le couloir pour ressortir par la porte de derrière, rendez-vous au 52.
Impossible par la porte d'entrée du bar, qui s'ouvre à droite de la baie vitrée ; c'est par là que vont débarquer les agents d'ici quelques minutes. Vous regardez autour de vous à la recherche d'une autre sortie. La grande salle semble avoir été le théâtre d'une bagarre. Des tables et des chaises sont renversées, des morceaux de cendriers cassés jonchent le sol, et vous relevez plusieurs impacts de balles sur les murs et sur les boiseries.
Tout de suite à votre gauche, avant d'entrer dans cette grande pièce, un petit renfoncement donne sur deux portes, toutes les deux béantes. Celle de droite donne sur un escalier qui descend vers le sous-sol, celle de gauche sur un escalier qui monte à l'étage. La serrure de celle de gauche est complètement détruite, comme si on avait tiré dessus à bout portant. Malgré la pénombre, vous remarquez un appareil noir fixé au plafond juste avant ces deux portes. Il s'agit d'une caméra. Tournée vers le sol, elle ne peut louper aucune personne qui viendrait de la salle commune ou du couloir des cuisines et qui souhaiterait se rendre à l'une des deux portes. Vous allez devoir passer devant son objectif si vous souhaitez franchir l'une de ces portes.
Si vous prenez la porte de droite pour descendre au sous-sol, rendez-vous au 544.
Si vous prenez la porte à la serrure brisée pour monter à l'étage, rendez-vous au 933.
Si vous rebroussez chemin dans le couloir pour ressortir par la porte de derrière, rendez-vous au 52.