Toutes les enveloppes ont déjà été ouvertes et, d'après leur cachet, elles ont dû être reçues la semaine dernière au moins. Elles sont toutes adressées à Joseph Sergeneau. Si vous mettez de côté les factures, deux lettres vous paraissent dignes d'intérêt.
La première est clairement une lettre de délation. Celui qui l'a écrite indique au destinataire que Vitto Vogel est sur le point de le trahir et de tout balancer à la police. L'expéditeur se propose de prendre les dispositions nécessaires en vue de régler le problème. C'est signé "B. Pelegrino". Viendriez-vous de trouver un aveu signé du meurtrier ?
La deuxième missive émane d'un certain "Emile Antarès". Il dit passer par la poste car il se méfie des e-mails et du téléphone, trop facilement mis sur écoute. Il annonce son arrivée prochaine à Genève. Comme le destinataire le lui a conseillé, il a réservé une chambre à "l'hôtel de Russell". Sa dernière phrase vous intrigue particulièrement. Elle dit : "Je cherche actuellement une solution pour avoir un entretien avec Vogel le plus tôt possible et ainsi mener à bien votre contrat."
Vous interrompez brusquement votre lecture. Vous avez entendez du bruit. Des gens arrivent ! S'ils vous voient, vous êtes cuit ! Vous pouvez prendre les lettres avec vous si vous le souhaitez. Vous devrez ensuite rapidement choisir comment réagir. Ils viennent du rez-de-chaussée. Pour être sûr de les éviter, vous n'avez pas trente-six possibilités.
Si vous montez l'escalier, rendez-vous au
252.
Si vous vous cachez dans le vestibule, rendez-vous au
918.