A l'intérieur, vous trouvez un ordinateur, doté de trois écrans. Un plateau mobile permet d'avancer le clavier vers soi pour pouvoir taper dessus. Mais vu la hauteur à laquelle il est placé, il ne doit être conçu que pour utiliser l'ordinateur debout. Sur l'étagère du bas de l'armoire, vous trouvez des verres propres et plusieurs bouteilles d'apéritifs : suze, porto, martini, whisky, punch, pastis. Si vous souhaitez en prendre une avec vous, sachez qu'elles sont trop encombrantes pour vos poches ; vous pouvez en glisser une dans la grande poche intérieure de votre parka, mais qu'une seule. Si vous avez déjà une boîte de conserve sur vous, vous devez la laisser ici.
Le coeur battant en entendant les bruits de pas des policiers dans le couloir, vous faites un mouvement brusque et accrochez une pile de verres à pastis en équilibre qui bascule ! Vous la rattrapez juste à temps avant qu'elle n'aille se fracasser sur le sol. Vous soupirez de soulagement : le bruit aurait à coup sûr attiré les policiers vers vous. Mais vous mettre à genoux vous a permis de voir le sol de plus près et de remarquer une étrange trace blanche, que vous n'aviez pas pu déceler sur la blancheur du lino. On dirait une trace de sauce, dont la forme rappelle celle d'un pas. Promenant votre regard par terre, vous en trouvez d'autres. Elles sont venues de la porte jusqu'à cette armoire, puis ont fait le chemin inverse. Elles ne sont pas allées jusqu'au coffre-fort. C'est vraiment très étrange. Si vous avez le mot-code TRACUI, soulignez-le.
Vous faillissez avoir une attaque quand on essaie d'ouvrir la porte de la pièce.
- C'est fermé de l'intérieur ! hurle un agent.
- Défonçons-la !
Ni une ni deux, vous vous ruez vers la porte-fenêtre mais déjà le verrou de la porte cède sous la charge des policiers.
- Hé, vous ! Arrêtez-vous ou je tire ! hurle dans votre dos le premier d'entre eux qui vous aperçoit.
Si vous obtempérez sur le champ, rendez-vous au
346 pour vous expliquer.
Si vous franchissez la porte-fenêtre, rendez-vous au
102.