Vous déboulez dans une salle qui, uniquement éclairée par les lumières de la ville dehors, peut faire penser à un bureau d'entreprise. Deux bureaux avec lampes et téléphones occupent le centre de la pièce. Derrière eux sont plaqués contre le mur des vestiaires et des classeurs à tiroirs métalliques. Vous ne voyez aucune autre issue dans cette pièce ; c'est un cul-de-sac. Dans le mur sur votre gauche s'ouvre une fenêtre qui donne sur un pan de toit, à la manière d'une jacobine. Les fenêtres du mur du fond, elles, donnent sur la rue, à l'arrière du bar. Là par où vous vous êtes introduit ici. En vous plaquant à côté d'une de ces fenêtres à guillotine et en regardant en biais, vous constatez qu'il ne reste plus beaucoup de policiers vers leurs voitures. Soudain, vous entendez des craquements de planche. Cela vient de l'escalier en bois qui mène à cet étage. Les agents sont en train de monter ! Impossible de revenir dans le couloir, ils vous prendraient à coup sûr. Vous êtes coincé dans cette pièce. Il ne vous reste plus qu'une seule solution : passer par la fenêtre du mur de gauche, pour accéder au toit.

Rendez-vous au 206.