C'est à nouveau Bernie qui règle l'addition. Une fois dehors, vous lui posez la question qui vous taraude depuis un moment :
- Je peux savoir pourquoi tu fais ça pour moi ?
- Pas pour tes beaux yeux, tu penses bien ! Autant te le dire tout de suite, je veux la moitié du fric.
Vous écarquillez les yeux : de quoi parle-t-il ?
- Oh, me la fais pas, Allister ! Je sais très bien que ton attaché-case était plein de pognon ! Il n'y pas meilleur que moi dans cette ville pour ce qui est de la recherche d'infos, je t'ai déjà dit. D'ailleurs, je veux ma part maintenant, avant de faire quoique ce soit d'autre.
- Mais j'ignore complètement...
- Ok, tu le prends comme ça ? vous interrompt-il. Eh bien je change les règles : je veux tout le blé !
Il sort un pistolet et vous le plante dans le dos :
- On y va tout de suite. Sinon je te plombe.
- Mais où ça ? paniquez-vous.
- Chercher le magot.
Sans que vous n'ayez compris pourquoi, la situation est soudain devenue critique. Vous ne savez absolument pas de quel argent il veut parler, et si vous ne lui dites pas où il se trouve, il vous abat. Que pouvez-vous faire ? Où aller ?
Si vous dites que vous avez laissé l'argent à votre hôtel, rendez-vous au
604 (sauf si vous avez le mot-code DISCHO, auquel cas Bernie ne vous croira pas).
Si vous dites que vous l'avez caché à la gare, rendez-vous au
44.
Si vous proposez de le conduire au magot, en espérant avoir en route l'opportunité de lui échapper, rendez-vous au
560.