L'espace d'un instant, une angoisse certaine vous étreint. Mais l'homme de main arrête son regard sur le guéridon. Il s'empare des lettres et dit à ses collègues :
- J'ai failli oublier : il faut que je porte ça au patron, dans son bureau. Je redescends tout de suite.
- On t'attend dans le salon, alors, soupire l'un, qui commence à ouvrir la double porte vitrée.
- Moi, je vais voir si Paulo a un petit truc à béqueter, dit l'autre, en prenant plutôt le moins large des deux couloirs.
Le sbire qui a pris les lettres acquiesce puis monte l'escalier. D'où vous êtes, vous ne le voyez plus, mais vous entendez qu'il ouvre une porte et la franchit. Si vous avez le mot-code MAJASS, soulignez-le. Ils sont partis, mais ils risquent de revenir à tout instant. C'est le moment ou jamais pour déguerpir d'ici. Impossible de prendre la porte à double battant ou le petit couloir ; vous risqueriez de croiser l'un des gardes.
Vous sortez du vestiaire et :
Vous décampez par le grand couloir, à gauche de la double porte (qui mène au
725),
Vous prenez le risque d'emprunter l'escalier (qui monte au
252).
Estimant que vous en avez déjà suffisamment appris dans cette maison, vous quittez les lieux par la porte d'entrée (qui vous fera sortir au
288).