A peine vous approchez-vous du troquet que des policiers en civil surgissent de l'intérieur, ainsi que des rues alentours. Ils étaient parfaitement cachés et n'attendaient qu'une chose : votre venue. Votre précédente intrusion au Chicago Ace n'est pas restée inaperçue : vous aviez brisé les scellés de la police. Et cette dernière vous a tendu un piège, au cas où vous commettriez l'imprudence de revenir. Les patrouilleurs vous tiennent déjà en joue ; vous n'avez pas eu le temps de réagir. Vous êtes maîtrisé et capturé. Ils vous passent les menottes mains derrière le dos et vous fouillent sans ménagements. Ils ne vous posent aucune question, comme s'ils étaient sûrs de celui à qui ils ont affaire. Ils s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices. Après avoir pris leurs instructions par talkie-walkie, ils vous font monter en voiture et vous conduisent au commissariat.

Tout s'est passé si vite que vous ne réalisez pas vraiment ce qu'il vous arrive. Vous voilà derrière les barreaux d'une cellule. Vous leur clamez qu'ils font une erreur de vous traiter ainsi comme un criminel, ce qui provoque chez eux une vive hilarité.


Si vous avez le mot-code SOIMER, JEUSOI ou VENSOI, rendez-vous au 598.

Si vous n'avez aucun de ces mots, rendez-vous au 285.