Paragraphe 759
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Vous gagnez le quai où le dernier train pour Nyon est sur le point de prendre le départ. Aucun contrôleur en vue pour vérifier si vous avez votre billet. Vous montez dans le premier wagon et allez vous asseoir dans un compartiment vide et mal éclairé, ce qui vous convient très bien. Un sifflement retentit et le train s'ébranle. Vous regardez par la fenêtre et voyez la gare de Cornavin s'éloigner. Vous voici enfin sorti de Genève !
Le début du voyage se passe sans encombres. A un moment, votre coeur accélère la cadence lorsque vous voyez un contrôleur passer devant votre compartiment. Heureusement, il ne s'est pas arrêté pour vous demander votre titre de transport. C'est tout juste s'il vous a jeté un coup d'oeil. Quelques temps après, le train s'arrête dans une petite gare. Vous regardez par la vitre et manquez défaillir en apercevant une escouade de policiers monter à bord au pas de charge. Sont-ils là pour vous ? Le contrôleur vous aurait-il reconnu ? Vous ne les attendez pas pour leur demander. Vous quittez votre compartiment et vous vous dirigez vers l'avant du train, vu que les agents que vous avez vus sont montés par l'arrière. Hélas, vous tombez bientôt nez à nez avec une autre patrouille ! Ce sont deux troupes de policiers qui ont investi le train, pour le fouiller par les deux bouts. Quand ils vous voient, ils vous reconnaissent et vous ordonnent de vous arrêter. C'est bien vous la proie qu'ils convoitent !
Vous sortez immédiatement du train, sur le quai de la gare, pour vous enfuir. Vous n'allez pas très loin : des policiers surgissent de partout et vous encerclent. Ils pointent sur vous des fusils d'assaut. Vous n'avez pas d'autre choix que celui de vous rendre. Des inspecteurs de police en civil vous passent les menottes mains derrière le dos et vous fouillent sans ménagements. Ils ne vous posent aucune question, comme s'ils étaient sûrs de celui à qui ils ont affaire. Ils s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices. Après avoir pris leurs instructions par talkie-walkie, ils vous font monter en voiture et vous ramènent à Genève. Conduit au commissariat central, vous êtes jeté dans une cellule. C'est la fin de votre cavale.
Rendez-vous au 598.
Le début du voyage se passe sans encombres. A un moment, votre coeur accélère la cadence lorsque vous voyez un contrôleur passer devant votre compartiment. Heureusement, il ne s'est pas arrêté pour vous demander votre titre de transport. C'est tout juste s'il vous a jeté un coup d'oeil. Quelques temps après, le train s'arrête dans une petite gare. Vous regardez par la vitre et manquez défaillir en apercevant une escouade de policiers monter à bord au pas de charge. Sont-ils là pour vous ? Le contrôleur vous aurait-il reconnu ? Vous ne les attendez pas pour leur demander. Vous quittez votre compartiment et vous vous dirigez vers l'avant du train, vu que les agents que vous avez vus sont montés par l'arrière. Hélas, vous tombez bientôt nez à nez avec une autre patrouille ! Ce sont deux troupes de policiers qui ont investi le train, pour le fouiller par les deux bouts. Quand ils vous voient, ils vous reconnaissent et vous ordonnent de vous arrêter. C'est bien vous la proie qu'ils convoitent !
Vous sortez immédiatement du train, sur le quai de la gare, pour vous enfuir. Vous n'allez pas très loin : des policiers surgissent de partout et vous encerclent. Ils pointent sur vous des fusils d'assaut. Vous n'avez pas d'autre choix que celui de vous rendre. Des inspecteurs de police en civil vous passent les menottes mains derrière le dos et vous fouillent sans ménagements. Ils ne vous posent aucune question, comme s'ils étaient sûrs de celui à qui ils ont affaire. Ils s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices. Après avoir pris leurs instructions par talkie-walkie, ils vous font monter en voiture et vous ramènent à Genève. Conduit au commissariat central, vous êtes jeté dans une cellule. C'est la fin de votre cavale.
Rendez-vous au 598.