Les policiers vous cueillent en bas de l'échelle. Ils vous passent les menottes mains derrière le dos et vous fouillent sans ménagements. Ils vous inondent de questions, auxquelles votre esprit embrumé d'amnésique est bien trop flou pour être capable de répondre quelque chose de sensé. Ils s'emparent de toutes vos possessions comme autant de preuves ou d'indices, attaché-case y compris. Après avoir pris leurs instructions par talkie-walkie, ils vous font monter en voiture et vous conduisent au commissariat.
Vous êtes placé en garde à vue. Vous avez beau leur clamer qu'ils font une erreur de vous traiter ainsi comme un criminel, peu leur chaut.
Rendez-vous au
598.