En débarquant dans le salon aménagé dans cette aile de la maison, vous constatez que, bien que la lumière n'ait pas été allumée, il est lui aussi occupé. Des gardes viennent d'y débouler. Dès qu'ils vous voient, ils braquent leurs armes automatiques sur vous. Vous n'avez pas eu le temps de réaliser qu'un homme assis dans un large fauteuil vous adresse la parole. Il est dos à vous ; vous ne pouvez voir que le haut de son crâne chauve dépasser du dossier et sa main ornée d'une chevalière posée sur l'accoudoir.
- En voilà une surprise ! Si je m'attendais à vous voir débarquer ici, dans la gueule du loup...!
Il ne s'est même pas retourné pour vous voir. Comment peut-il savoir qui vous êtes ? Et que faisait-il ainsi assis dans la pénombre ? Ses hommes de main vous intiment l'ordre de vous rendre. Votre situation paraît bien compromise. Pourtant, vous entrevoyez encore une chance de vous sortir de ce guêpier : immédiatement sur votre gauche, la véranda qui occupe tout le mur donne sur la cour.
Si vous possédez une arme à feu encore chargée, vous pouvez vous jeter derrière un sofa et tirer dans le tas pour tenter une fuite désespérée par la véranda ; rendez-vous pour cela au
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Si vous vous soumettez, allez au
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