Nils Jacket Contre l'Agent X, le site officiel des Enquêtes de Nils Jacket

Paragraphe 1144

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Vous tirez silencieusement le garrot de votre montre et, d'un geste rapide et précis, vous le passez autour du cou de votre ennemi. Pris par surprise, la douleur est telle qu'il lâche son arme et porte aussitôt ses mains à son cou. Bien que fort comme Chuck Norris, il a beau se débattre, il ne fait qu'enfoncer plus profondément dans sa chair le mortel fil de fer. Il succombe finalement à votre fatale strangulation et son corps s'affale à vos pieds. Il est mort.

Vous vous emparez de son arme, un pistolet automatique avec silencieux, à moitié chargé. Vous le fouillez rapidement. Il ne semble avoir sur lui ni portefeuille ni téléphone portable. Arrivé en bas de l'escalier, vous ne voyez aucune porte de derrière ; il n'y a que la porte d'entrée de l'immeuble. Vous savez qu'il reste un mafieux dans la rue, mais vous avez maintenant une arme pour riposter.

Vous prenez le risque de sortir. Vous essuyez aussitôt un coup de feu, qui fendille le bois de la porte à quelques centimètres de votre tête ! Par chance, vous avez eu le temps de repérer d'où venait le tir. Vous vous faufilez par la galerie des poubelles sans qu'il ne vous voie et, au moment où il sort sa tête aux cheveux bleus pour faire feu à nouveau, il ne vous faut qu'un tir pour le toucher mortellement.

Vous haletez bruyamment. Enfin une accalmie. Votre coeur bat à tout rompre. Après tous ces efforts stressants, vous n'êtes pas mécontent de vous en sortir à si bon compte. C'est alors qu'une voix s'élève dans votre dos :

- Lâche ton arme où t'es un homme mort.


Allez-vous obéir ? (rendez-vous pour cela au 1092)

Ou bien vous retourner pour voir qui a osé vous donner cet ordre ? (rendez-vous au 1395)