Une pointe d'angoisse vous saisit quand vous le voyez regarder le guéridon, à l'endroit précis où se trouvaient les missives.

- Il n'y avait pas des lettres ici ? demande-t-il à ses collègues.

- Qu'est-ce qu'on en sait ! Pourquoi tu veux savoir ça ?

- Je devais les porter au patron et j'ai oublié... Où ont-elles pu bien passer ?

- Le majordome a dû les lui monter, t'inquiète pas.

- Attends, je vais voir si elles ne sont pas au salon.

- Ok, eh bien nous, on va voir si Paulo a pas un petit truc à béqueter.

L'homme de main préoccupé ne leur répond même pas et entre par la double porte vitrée. Les deux autres partent par le moins large des deux couloirs. Si vous avez le mot-code MAJASS, soulignez-le. Ils sont partis, mais ils risquent de revenir à tout instant. C'est le moment ou jamais pour déguerpir d'ici. Impossible de prendre la porte à double battant ou le petit couloir ; vous risqueriez de croiser l'un des sbires.


Vous sortez du vestiaire et vous décampez par :

Le grand couloir, à gauche de la double porte (qui mène au 725),

L'escalier (qui monte au 252),

Estimant que vous avez déjà réuni suffisamment d'indices ici ce soir, par la porte d'entrée (qui vous fera sortir au 288).