Soulignez le mot-code "MAJASS". Vous êtes étonné que le cuistot n'ait pas donné alerte, plutôt que d'essayer de vous ouvrir le crâne ; vous auriez été immédiatement cerné et compromis. S'il vous attendait ainsi dans le noir, c'est qu'il a dû vous entendre étendre le majordome à l'entrée ; il a alors éteint la pièce et vous a attendu. Ce n'est pas très rationnel, comme attitude. En y repensant, les yeux rouges avec lesquels il vous fixait comme un possédé n'étaient pas naturels. Il devait être sous l'emprise de stupéfiants. Vous avez en fait survécu au cuisinier fou d'Aikaterine.

Sans perdre davantage de temps, vous traînez dans le cellier le corps inanimé, pour le cacher comme vous avez fait pour le majordome. A cette allure, vous allez truffer de corps les recoins de la maison ! S'il n'est qu'assommé, avec les nappes et torchons que vous trouvez rangés là, vous avez de quoi confectionner des liens et un bâillon. Vous le fouillez mais ne trouvez rien d'intéressant sur lui. Il n'y a rien non plus de bien utile dans la cuisine : vous n'allez pas vous trimballer avec des casseroles dans la maison. Vous avez besoin de discrétion. Le couperet de votre agresseur serait trop encombrant, mais vous pouvez toutefois emporter avec vous un couteau de cuisine pour vous servir d'arme, si vous n'en avez pas déjà un (notez-le alors sur votre Feuille d'Aventure). Comme vous n'avez plus rien à faire ici, autant ne pas traîner ici.


Si vous estimez avoir déjà réuni suffisamment de preuves ici ce soir, vous pouvez sortir de la maison par la porte de service (rendez-vous alors au 288).

Sinon, il ne vous reste plus qu'à rebrousser chemin dans le couloir.

Si vous n'avez pas encore exploré la cave, vous pouvez franchir la porte qui y descend (rendez-vous alors au 924), ou revenir dans le vestibule (rendez-vous au 1134).

Si vous êtes déjà descendu au sous-sol, vous n'avez pas d'autre choix que de revenir dans le hall d'entrée (rendez-vous dans ce cas au 513).