Vous passez sous la caméra pour prendre la porte de gauche. Avant de la franchir, vous jetez un oeil à la serrure fracassée. Vous remarquez qu'elle n'a pas de trou pour accueillir une clef ; elle s'ouvre électroniquement. Pour l'actionner, il fallait en avoir la télécommande. Visiblement, celui qui l'a fait sauter en était démuni.

Vous montez les marches d'un escalier en bois qui, après un demi-tour à mi-parcours, vous amène au 1er étage. Vous êtes à présent au début d'un couloir dont le mur de gauche est percé de trois fenêtres qui donnent sur la rue devant le bar. Ne souhaitant pas allumer la lumière pour ne pas vous faire repérer de l'extérieur, vous vous contentez de la clarté des lampadaires dehors pour examiner les tableaux qui ornent le mur de droite. Ce sont en fait des photos en noir et blanc de champions italiens de formule 1. Les voir éveille quelque chose en votre esprit. Un vague air de déjà-vu.

Dans ce mur de droite se trouve une porte dépourvue d'inscription. Au bout du couloir, une autre porte arbore une petite plaque sur laquelle vous pouvez lire : "V. Vogel". Vous pouvez voir au pied de cette porte que la lumière est allumée à l'intérieur de cette pièce. Vous restez immobile un instant : aucun son ne se fait entendre derrière l'une ou l'autre de ces portes.


Allez-vous ouvrir :

Celle à votre droite ? (rendez-vous pour cela au 707)

Celle du fond ? (rendez-vous au 100)