Vous vous traînez jusqu'à la première pompe venue. Alors que vous effectuez le plein d'essence, plusieurs voitures de police déboulent sans crier gare et freinent brusquement devant la station-service. Votre sang se glace. Vous jetez le pistolet et refermez le bouchon en toute hâte, mais c'est trop tard : les agents sont sortis armes aux poings et, à l'abri de leurs portières ouvertes, ils vous ordonnent de vous rendre. Ils ont dû être prévenus par un pompiste ou par ses clients, qui n'ont pas manqué de vous reconnaître comme le criminel dont le portrait fait la une. Si, au présentoir à journaux, les passants vous reconnaissaient et appelaient la police, vous auriez dû vous douter que vous ne passeriez pas plus inaperçu à une station-service.


Si vous possédez une arme à feu encore chargée, vous pouvez leur tirer dessus pour couvrir votre fuite ; rendez-vous pour cela au 1012.

Si vous vous constituez prisonnier, rendez-vous (au sens reddition du terme) au 346.