Derrière la porte, l'homme vêtu de noir qui avait ouvert à Delmas. Vous pointez immédiatement votre pistolet sur lui, mais lui aussi en a un à la main. Dirigé vers vous !

Tout se passe en une fraction de seconde.

Lorsqu'il découvre qui vous êtes, il étouffe un cri de surprise et fait feu, mais vous avez déjà plongé. Sa balle troue le pan de votre imperméable volant dans votre chute, au moment où vous-même répliquez d'un tir en pleine poitrine. Votre agresseur s'écroule en même temps que vous. Mort, lui.


Vous venez de tuer un homme, et avez été très proche de finir comme lui. Votre cœur bat à tout rompre. Mais vous n'avez pas le temps de réfléchir à ce grave événement car, si le pistolet de votre ennemi avait un silencieux, la détonation du vôtre a dû attirer l'attention. Vous regardez derrière vous, en direction du commissaire. Il est sorti de sa voiture, préoccupé. Il doit être soulagé de vous voir vous relever. Vous entendez des bruits de pas de course : on vient. Vous vous époussetterez plus tard. En toute hâte, vous ramassez l'arme de votre victime et entrez. Vous voici dans un couloir envahi de fils électriques dénudés, qui longe le mur extérieur du bâtiment et bifurque dix mètres plus loin. Un corridor part à gauche ; il semble conduire au cœur de l'entrepôt. Au bout du couloir, on dirait l'entrée d'une salle mais avant de pouvoir l'atteindre, vous devez passer devant un escalier métallique qui vous surplombe et dont les marches résonnent au rythme de pas empressés : c'est par là que descendent plusieurs personnes. Sans doute pas des amis ! Vous devez les éviter à tout prix. Décidez-vous vite !


Vous élancez-vous par le corridor de gauche avant que ces gens ne soient descendus ? (foncez au 358 sans perdre une seconde !)

Battez-vous en retraite illico auprès de Cardoze, pour vous abriter dans sa voiture, avant de risquer de vous faire trouer plus que l'imperméable ? (réfugiez-vous alors au 94)