Vous gagnez le commissariat mais là, lorsque vous demandez à voir Thomas Nache, on vous dit que celui-ci n'est plus en garde à vue. Il a été relâché il n'y a même pas un quart d'heure : quelqu'un a payé sa caution. Lorsque vous dites travailler en cheville avec le commissaire Cardoze, les fonctionnaires de police consentent à vous en dire davantage. C'est Didier Dattaque qui a payé la caution, en s'engageant à ce que Nache reste à ses côtés le temps de l'enquête et ne cherche pas à quitter la ville. Vous tombez des nues. Pourquoi le fils Dattaque a-t-il fait une telle dépense ?

Cardoze ne devait pas se douter que le juge assortirait la garde à vue d'une caution et que quelqu'un oserait la payer. Maintenant, son suspect n°1 est dans la nature. Le commissaire a été appelé par ses hommes sur son portable au moment même de la libération. Il était furax. Il leur a immédiatement ordonné de prendre le garde du corps en filature. Mais ces doués n'ont pas fait attention dans quelle direction il est parti ! S'il a quitté le commissariat il y a un quart d'heure, vous avez, en vous dépêchant, encore une chance de le rattraper. Une piste vous vient à l'esprit : Nache doit avoir sa voiture encore garée sur le parking du building Dattaque. Vous avez juste le temps de vite vous y rendre. Au pas de course.


C'est hors d'haleine que vous arrivez à l'entrée du complexe Dattaque Industries. Vous demandez aux gardes du portail d'entrée si une voiture est sortie du parking dans les dernières minutes. Ils vous confirment avoir laissé le passage à Nache ; il vient de quitter le parking et de partir en voiture, il y a à peine trente secondes. Dépité mais pas abattu, vous demandez quelle direction il a prise et vous vous élancez à nouveau. Vous atteignez une rue paralysée par un embouteillage. Si le garde du corps est dans l'un des véhicules, autant chercher une aiguille dans une meule de foin.


Si vous avez interrogé Thomas Nache ce matin, rendez-vous au 548.

Sinon, il vous faut choisir une autre action. Si vous décidez :

De chercher Anne-Sophie Dattaque, rendez-vous au 574.

De vous rendre chez Didier Dattaque, rendez-vous au 174.

De chercher Robert Bolet, rendez-vous au 689.

De rendre une petite visite officieuse au siège de FBSA Industries, rendez-vous au 8.

De rendre visite à votre indic, rendez-vous au 64.

D'aider la police à chercher l'arme du crime, rendez-vous au 855.