Paragraphe 43
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Vous laissez Loyson rejoindre la police qui est arrivée sur les lieux, et vous sortez de l'immeuble. Vous voici dans la cour, où sont garées les voitures de la police. Vous voulez voir comment un assassin a pu s'introduire dans le bâtiment. Vous voyez des badauds curieux se presser aux grilles d'entrée. Les brutes du service de sécurité les repoussent sans ménagement. Cette entrée est la seule dans le mur d'enceinte. Pour pénétrer dans la cour, l'assassin a dû soit escalader le mur, et ce, sans se faire repérer par les caméras de surveillance, soit satisfaire au draconien contrôle de sécurité. Dans cette deuxième hypothèse, l'assassin devait être muni d'un badge magnétique. Compte tenu de la configuration des lieux, il est impossible de passer les contrôles sans.
Arrivé dans la cour, l'assassin avait deux nouvelles possibilités : soit escalader la façade, soit entrer par la porte. Cette dernière est la seule entrée de l'immeuble et là encore, les contrôles de sécurité sont intraitables. Impossible de les franchir sans badge magnétique, et sans se faire filmer par les caméras de surveillance. Vous faites le tour du bâtiment pour vérifier si le meurtrier a pu escalader la façade et passer par la fenêtre du bureau de Dattaque. Aucune lampe n'éclaire le haut de l'immeuble. Les seules lampes extérieures allumées la nuit sont celles de la cour, au pied du building, et leur lumière ne porte pas assez haut pour éclairer le sommet. Une ombre peut donc s'y glisser sans se faire remarquer. Toutefois, la façade est on ne peut plus raide et lisse, elle n'offre aucune prise. Elle est impossible à escalader sans matériel et vous ne voyez aucune trace qui aurait pu être laissée dans la paroi par l'utilisation de crampons d'alpiniste. Pas même de traces de pied suite à une descente en rappel. L'hypothèse d'un assassin pénétrant et sortant par la fenêtre semble peu crédible. L'évidence est là : le coupable avait un badge de sécurité et doit apparaître sur les bandes des caméras de surveillance.
Pendant que vous effectuiez votre ronde, les policiers ont examiné la scène du crime et la police scientifique a effectué relevés et analyses. Il est temps de vous mettre en contact avec eux, en allant parler au commissaire, au 9.
Arrivé dans la cour, l'assassin avait deux nouvelles possibilités : soit escalader la façade, soit entrer par la porte. Cette dernière est la seule entrée de l'immeuble et là encore, les contrôles de sécurité sont intraitables. Impossible de les franchir sans badge magnétique, et sans se faire filmer par les caméras de surveillance. Vous faites le tour du bâtiment pour vérifier si le meurtrier a pu escalader la façade et passer par la fenêtre du bureau de Dattaque. Aucune lampe n'éclaire le haut de l'immeuble. Les seules lampes extérieures allumées la nuit sont celles de la cour, au pied du building, et leur lumière ne porte pas assez haut pour éclairer le sommet. Une ombre peut donc s'y glisser sans se faire remarquer. Toutefois, la façade est on ne peut plus raide et lisse, elle n'offre aucune prise. Elle est impossible à escalader sans matériel et vous ne voyez aucune trace qui aurait pu être laissée dans la paroi par l'utilisation de crampons d'alpiniste. Pas même de traces de pied suite à une descente en rappel. L'hypothèse d'un assassin pénétrant et sortant par la fenêtre semble peu crédible. L'évidence est là : le coupable avait un badge de sécurité et doit apparaître sur les bandes des caméras de surveillance.
Pendant que vous effectuiez votre ronde, les policiers ont examiné la scène du crime et la police scientifique a effectué relevés et analyses. Il est temps de vous mettre en contact avec eux, en allant parler au commissaire, au 9.