Les gens devant vous, pour beaucoup, ne cachent pas leur étonnement. Didier, lui, paraît amusé de votre accusation :
- Vous oubliez un peu vite, mon cher Jacket, que l'on a tenté de me supprimer moi aussi. Vous ne croyez pas que, si j'étais l'assassin de mon père, j'aurais évité d'organiser mon propre assassinat ?
- La tentative de meurtre à votre endroit n'était qu'une mise en scène, rétorquez-vous. Destinée à détourner les soupçons de vous. Un véritable tueur à gages ne vous aurait pas raté si facilement.
Montanes vient à la rescousse du jeune héritier ; il se fait fort de démonter votre théorie :
- Depuis le temps que X est à l'uvre, il doit être plus vieux que le jeune Dattaque. Et de toutes façons, Didier Dattaque a un alibi en béton : il était au conseil d'administration hier après-midi, devant de nombreux témoins, alors que l'Agent X était au même moment à son QG. Il vous a même parlé, Jacket ! L'auriez-vous déjà oublié ?
Que répliquez-vous ?
Que X ne se trouvait pas physiquement à l'entrepôt, en réalité ? (rendez-vous au
473)
Que ce n'était pas Didier au conseil d'administration, mais une personne déguisée ? (rendez-vous au
255)