Il assure n'avoir été menacé par personne. Il n'arrive pas à concevoir que quelqu'un ait cherché à le tuer.
- J'ai juste procédé à des rachats d'actions Dattaque Industries depuis hier, avoue-t-il. Mais ce n'est pas un crime ! Vous pensez qu'on a pu vouloir me supprimer à cause de ça ?
- Il n'est parfois pas très judicieux de clamer à tue-tête qu'on veut devenir le nouveau patron d'une entreprise aussi particulière... Surtout à la presse.
- Mais c'est mon droit le plus strict ! Je sais que j'en suis capable, et je vais bientôt entrer en possession de la moitié des actions de mon père, le temps que les notaires règlent les détails de la succession. Personne ne m'en empêchera.
- Je vous conseille alors de bien vous protéger en attendant ce moment.
Si vous n'en avez jamais parlé avec lui, vous pouvez lui demander pourquoi il avait pris Thomas Nache à son service ; rendez-vous pour cela au
267.
Si vous avez vu un tatouage et désirez lui en parler, rendez-vous au
236, sauf si c'est déjà fait.
Si vous avez le mot-code ABUXER, ou si vous avez commandé ou possédez déjà une invitation pour une soirée huppée, et souhaitez aborder ce sujet, rendez-vous au
486.
Si vous préférez libérer le jeune homme et attendre le retour du commissaire, rendez-vous au
299.