Le lendemain matin, après une bonne douche et un rasage appliqué, vous gagnez le commissariat sur les coups de 8h, où Cardoze vous attendait (+1 trajet de voiture). Il vous offre un bon café chaud et des croissants ; c'est vraiment gentil à lui d'avoir eu cette amicale attention. Vous n'êtes qu'un simple détective, lui est un officier de police en vue, et il vous traite pourtant d'égal à égal.
Ses hommes l'ont informé du cambriolage dont vous avez été victime hier soir. Vous lui fournissez votre version des faits, en espérant que ces détails l'aideront à mettre la main sur le coupable. Le fait que le voleur était vêtu de noir comme un ninja le laisse perplexe. Son beau-frère est artisan ; il l'a contacté pour venir réparer votre porte cet après-midi. En attendant, il laissera l'un de ses inspecteurs superviser les travaux et garder vos clefs jusqu'à votre retour. Vous le remerciez chaleureusement. C'est vraiment un chic type, ce Cardoze. Que feriez-vous sans lui ? commencez-vous à vous dire.
Ce matin, il a rendez-vous avec Didier Dattaque pour l'interroger. Il doit le retrouver à un café du centre commercial, à 9h. Il vous propose de venir avec lui, une marque de considération que vous acceptez avec honneur.
Si vous avez le mot-code CHAARR, rendez-vous au
620.
À défaut, si vous avez le mot TRACAP, rendez-vous au
812.
À défaut, si vous avez le mot TELBOL, rendez-vous au
740.
Si aucun de ces mots ne figure dans votre Journal d'Enquête, montez en voiture avec le commissaire et allez voir le fils Dattaque au
200.