Arrivé à votre immeuble, vous montez les escaliers jusqu'à l'étage de votre cabinet et en trouvez... la porte ouverte. Pourtant, vous êtes sûr d'avoir fermé à clef ce matin, en partant après le coup de fil de Laurent Loyson. Aux aguets, vous entrez à pas de loup, sans prendre la peine d'allumer la lumière. Vous entendez un grattement frénétique venir de votre bureau. Vous découvrez alors une ombre en train de mettre votre cabinet à sac ! Échaudé, vous allumez brusquement la lumière en criant solennellement :

- Rends-toi, scélérat, tu es fait !

Le cambrioleur fait volte-face et vous découvrez son visage : c'est un ninja ! Tout de noir vêtu, il a dans une main un sac en toile à moitié rempli, et dans l'autre un long poignard. Il ne vous laisse pas le temps de placer une nouvelle réplique théâtrale : il bondit sur vous, vous assène un coup de son arme que vous évitez de justesse, puis vous envoie un violent coup de pied dans les côtes qui vous projette contre le mur. Vous vous écroulez par terre, terrassé par la douleur, et l'entendez s'enfuir dans les escaliers. Un rapide coup d'œil à votre cabinet vous apprend qu'il a été littéralement mis sens dessus dessous.


Si, dans votre Journal d'Enquête, vous avez le mot-code GANPRI ou, à défaut, PRIDEF, rendez-vous au 575.

Si vous n'avez aucun de ces deux mots, avez-vous, à la place, DEUX de ces mots : DECONT, WATDEL, DESACC ? Si oui, rendez-vous au 575. Si non, rendez-vous au 106.