Paragraphe 104
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Vous avez noté un certain nombre de voitures de sport de prix garées dans la cour. Le maître des lieux semble avoir de la visite. Un majordome, dès que vous lui avez dit qui vous êtes, vous fait traverser un intérieur classieux et design jusqu'à la cour extérieure, où plusieurs jeunes gens s'ébattent dans une large piscine. Les fameux invités. Le domestique s'arrête devant une chaise longue où bronze un jeune homme brun, de 25 ans environ, un verre à la main. Un petit jet-setteur en goguette, pas très secoué par la mort de son père.
- J'ai déjà reçu ce matin la visite d'inspecteurs de police, se plaint Didier Dattaque. Que voulez-vous savoir de plus, Monsieur... euh, Monsieur comment ?
- Jacket.
- Alors comme ça, Mr Jacket, vous avez été engagé comme détective par ce brave Laurent ? Je me demande où il vous a trouvé. Avec ce vieil imper et ce feutre, vous ressemblez à un privé rétro de série américaine bidon !
Et il éclate de rire, imité par ses compagnons de libation. Selon toute vraisemblance, le fils Dattaque n'a pas d'emploi et devait vivre aux crochets de son père. Maintenant que ce dernier est mort, comment va-t-il faire ?
- Oh, mais je l'aime bien, votre look, hein ! Faut pas le prendre mal. Je suis un peu plaisantin, c'est dans ma nature. Mais je ne suis pas méchant. Je vous écoute. Que voulez-vous savoir ?
- Déjà, pourquoi vous avez payé la caution de Thomas Nache. C'est le suspect n°1 du commissaire chargé de l'enquête.
- Officiellement, car j'ai besoin d'un garde du corps. Cette réponse vous satisfait ?
- Pas vraiment.
- Disons alors que j'ai envie de l'avoir à l'œil. Et de lui poser quelques questions moi-même.
Voudrait-il mener l'enquête lui-même ?
Il n'est pas obligé de répondre à un détective privé, mais il consent à répondre à 2 questions, le temps d'enfiler un peignoir et de retourner à l'intérieur. Lui demandez-vous :
Où il était hier soir au moment du crime ? (rendez-vous au 579)
S'il a une idée de qui a pu commettre le meurtre ? (rendez-vous au 311)
Comment cela se fait que la mort de son père l'affecte si peu ? (rendez-vous au 641)
- J'ai déjà reçu ce matin la visite d'inspecteurs de police, se plaint Didier Dattaque. Que voulez-vous savoir de plus, Monsieur... euh, Monsieur comment ?
- Jacket.
- Alors comme ça, Mr Jacket, vous avez été engagé comme détective par ce brave Laurent ? Je me demande où il vous a trouvé. Avec ce vieil imper et ce feutre, vous ressemblez à un privé rétro de série américaine bidon !
Et il éclate de rire, imité par ses compagnons de libation. Selon toute vraisemblance, le fils Dattaque n'a pas d'emploi et devait vivre aux crochets de son père. Maintenant que ce dernier est mort, comment va-t-il faire ?
- Oh, mais je l'aime bien, votre look, hein ! Faut pas le prendre mal. Je suis un peu plaisantin, c'est dans ma nature. Mais je ne suis pas méchant. Je vous écoute. Que voulez-vous savoir ?
- Déjà, pourquoi vous avez payé la caution de Thomas Nache. C'est le suspect n°1 du commissaire chargé de l'enquête.
- Officiellement, car j'ai besoin d'un garde du corps. Cette réponse vous satisfait ?
- Pas vraiment.
- Disons alors que j'ai envie de l'avoir à l'œil. Et de lui poser quelques questions moi-même.
Voudrait-il mener l'enquête lui-même ?
Il n'est pas obligé de répondre à un détective privé, mais il consent à répondre à 2 questions, le temps d'enfiler un peignoir et de retourner à l'intérieur. Lui demandez-vous :
Où il était hier soir au moment du crime ? (rendez-vous au 579)
S'il a une idée de qui a pu commettre le meurtre ? (rendez-vous au 311)
Comment cela se fait que la mort de son père l'affecte si peu ? (rendez-vous au 641)