D'un geste preste, vous enfilez votre arme de poing et assénez un violent coup dans le ventre de votre opposant qui, dans un cri de douleur, tombe à genoux, plié en deux. Cela lui apprendra à sous-estimer un plus petit que lui. Vous piquez un sprint en direction du portail encore ouvert, mais qui est en train de se refermer automatiquement en coulissant. Des vigiles vous voient passer sous leur nez sans comprendre ce qui arrive.
- Arrêtez-le ! C'est un espion ! hurle-t-on derrière vous.
Au moment où le portail va être complètement clos, vous plongez dans l'espace ouvert et parvenez à le franchir de justesse ! Vous effectuez un roulé-boulé peu gracieux sur le trottoir, vous vous relevez fissa et vous détalez sans demander votre reste, laissant derrière vous vos poursuivants, coincés derrière le battant. Mais vous savez qu'ils ne vont pas en rester là et vont sortir vous prendre en chasse. Vous courez à en perdre haleine jusqu'à votre 106 et démarrez en trombe. Cinq minutes plus tard, vous avez quitté le quartier industriel.
Vu votre avance, les trafiquants ne vous rattraperont pas. Vous êtes tiré d'affaire. Espérons que les renseignements glanés en valaient la peine.
Après avoir fait un arrêt pour remettre votre imper et votre feutre qui vous seyent tant, vers quelle destination vous dirigez-vous ?
Le commissariat, pour prévenir Cardoze de ce qui vous est arrivé ? (rendez-vous au
545)
Votre cabinet, pour rentrer chez vous ? (rendez-vous au
77)