Soudain, plus personne ne rit de vous. Un silence de mort tombe sur la pièce. Certaines personnes semblent se sentir visées et attendent non sans appréhension votre explication. Montanes intervient avant que vous n'ayez pu la commencer :
- Le meurtre de Louis Dattaque ne peut pas être passionnel, voyons ! Son coffre-fort a été pillé et les plans qu'il contenait ont été volés. L'assassinat est forcément lié à une affaire d'espionnage.
- C'était une mise en scène. Les plans ont été volés pour faire croire que le mobile était l'espionnage.
- Ah oui ? Alors, si on n'a pas volé de plans, dites-moi pourquoi quelqu'un a pris contact avec l'ambassadeur Sakadov pour venir les lui remettre ! Et surtout, dites-moi si vous trouvez normal que l'on vole le prototype MB409201, en y mettant de gros moyens, juste pour maquiller un crime passionnel. Non, ça ne tient pas une seule seconde.
Les arguments de Montanes sonnent justes. Vous essayez de les contrer, mais vous n'êtes guère crédible.
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