Nils Jacket Contre l'Agent X, le site officiel des Enquêtes de Nils Jacket

Paragraphe 197

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Vous vous jetez derrière une voiture, juste à temps pour éviter le feu nourri de leurs silencieux. Vous dégainez votre arme et répliquez. Les balles font voler en éclats les pare-brises autour de vous. La fusillade a commencé ! Une dame à sa fenêtre se met à hurler. Embusqué comme vous l'êtes, vous bénéficiez d'un excellent point de tir. Vous videz le chargeur de votre arme (modifiez votre Journal d'Enquête). Votre dernier coup de feu a atteint un malfrat en pleine tête. Il s'écroule par terre lourdement. Ses deux compères, à l'abri derrière des voitures, n'osent plus tirer. Les armes à feu se sont momentanément tues. Votre cœur bat à cent à l'heure. Jamais vous n'aviez tué un homme auparavant. Et jamais vous n'avez été aussi près de la mort. Mais, pour vous donner du courage, vous vous dites que vos ennemis sont dans la même situation. Quoique, eux ont l'air d'être des professionnels de la dessoudure.


D'ailleurs, vous y pensez : ils étaient quatre tout à l'heure. Et là vous n'en avez vu que trois. Où est passé le quatrième ? Vous vous êtes posé la question à temps : un bruit de pas rapides précède le lascar qui surgit de la ruelle à votre gauche. Il a contourné l'immeuble pour vous prendre à revers. Vous avez maintenant des tueurs de chaque côté de la rangée d'automobiles. Vous êtes cerné, vous ne pouvez plus vous cacher nulle part ! Et pas le temps de changer d'arme ! Heureusement, il lui faut une demi seconde pour vous repérer.


Profitez-vous de ce bref répit pour :

Courir à votre 106, garée pas loin en arrière ? (au 151)

Vous ruer vers l'entrée de votre immeuble, vieille porte en bois qui n'est jamais fermée à clef ? (au 347)