Le contre-espion étouffe un hoquet de rage et de stupéfaction quand vous le nommez. Toute l'assemblée est abasourdie par votre accusation inattendue. On se demande si vous ne faites pas une mauvaise blague. Vous devez leur expliquer que non :

- C'est normal, finalement, que nos services du contre-espionnage n'aient jamais réussi à mettre la main sur l'Agent X : X est l'un de leurs cadres ! Le commandant Montanes suit X depuis longtemps... parce qu'il est X. Il peut alors distiller de fausses informations sur l'Agent X, pour que nul ne le soupçonne. Il dit, par exemple, que X est lié soit à Dattaque Industries, soit à FBSA. Mais à par sa parole, quelle preuve avons-nous qu'il n'a pas inventé tout ça ?

Votre accusé semble prêt à vouloir vous étrangler. Le Ministre, qui a toute confiance en son fonctionnaire, vous somme d'étayer vos dires :

- Ce que vous nous dites, Jacket, est une accusation gravissime, contre un agent de l'État. J'espère que vous avez une preuve indéniable et irréfutable de la culpabilité du commandant.


Quelle est votre preuve contre Montanes ?

Si vous avez une preuve de sa complicité avec une certaine Mlle Zadilova, rendez-vous au 123.

Si vous avez une preuve qu'il se trouvait au building Dattaque le soir du meurtre de Louis Dattaque, rendez-vous au 521.

Si vous avez remarqué qu'il avait un aspect physique commun avec l'Agent X, parlez-en au 44.

Si vous avez vu une vidéo tournée par lui à l'ambassade, vous pouvez expliquer qu'elle a été tournée par quelqu'un qui ne la tenait pas à la main ; rendez-vous pour cela au 494.

Si vous avez passé la nuit à l'hôpital à cause de Montanes, vous pouvez expliquer que c'était un acte délibéré de sa part ; rendez-vous au 241.

Si vous avez une autre explication, exposez-la au 27.