Paragraphe 203
203
Votre théorie donne tout son sens à la mort de Nache : on l'a abattu pour le réduire au silence et ainsi empêcher que l'on remonte jusqu'à son ou ses commanditaire(s).
- Vous voulez dire que l'attentat du centre commercial n'était pas dirigé contre moi mais contre Nache ? s'ébahit Didier.
- C'est absurde ! fait Montanes.
- Alors donnez-moi une autre raison pour laquelle a été commis cet attentat ?
Le contre-espion se tait car, depuis le début, cette tentative de meurtre l'a laissé perplexe. L'ayant enfin mouché, vous poursuivez :
- Contrairement à l'idée du commandant, je n'ai pas écarté l'idée que cette agression était liée à l'affaire qui nous occupait. C'est même en la liant à l'affaire que j'ai réussi à lui trouver un mobile : l'élimination d'une personne qui savait qui étai(en)t le ou les détenteur(s) des plans. Et cette raison valable ne l'est que si Nache est mêlé au meurtre et au vol des plans. Tout se tient. Nache a tué Louis Dattaque, volé les plans et les a donnés à quelqu'un qui avait intérêt à se débarrasser de lui. Ce n'était donc pas une tentative d'assassinat, mais bien un assassinat réussi !
Votre auditoire est admiratif. Il paraît convaincu. C'est le Ministre qui vient tempérer cet enthousiasme :
- Votre thèse est intéressante, Jacket. Hélas, si l'assassin du centre commercial voulait couper la piste qui remontait jusqu'à lui, il a réussi. La mort de Nache n'accrédite votre théorie que si vous savez qui était le tireur. Sinon, il sera difficile d'écarter l'hypothèse que c'était Didier Dattaque qui était réellement visé.
Si vous avez les mots-codes PRIZAD et KILLOV, et si vous avez trouvé le fusil du tireur, rendez-vous au 158.
Si vous avez les mots PRIZAD et KILLOV, mais n'avez pas trouvé le fusil, rendez-vous au 47.
Si vous avez seulement le mot KILLOV et si vous avez trouvé le fusil, rendez-vous au 488.
Si vous avez seulement le mot KILLOV et n'avez pas trouvé le fusil, rendez-vous au 62.
Si vous n'avez pas le mot KILLOV, mais pensez savoir qui est le tireur, dites-le au 590. Si vous ignorez qui est le tueur, votre thèse s'effondre ; rendez-vous au 631.
- Vous voulez dire que l'attentat du centre commercial n'était pas dirigé contre moi mais contre Nache ? s'ébahit Didier.
- C'est absurde ! fait Montanes.
- Alors donnez-moi une autre raison pour laquelle a été commis cet attentat ?
Le contre-espion se tait car, depuis le début, cette tentative de meurtre l'a laissé perplexe. L'ayant enfin mouché, vous poursuivez :
- Contrairement à l'idée du commandant, je n'ai pas écarté l'idée que cette agression était liée à l'affaire qui nous occupait. C'est même en la liant à l'affaire que j'ai réussi à lui trouver un mobile : l'élimination d'une personne qui savait qui étai(en)t le ou les détenteur(s) des plans. Et cette raison valable ne l'est que si Nache est mêlé au meurtre et au vol des plans. Tout se tient. Nache a tué Louis Dattaque, volé les plans et les a donnés à quelqu'un qui avait intérêt à se débarrasser de lui. Ce n'était donc pas une tentative d'assassinat, mais bien un assassinat réussi !
Votre auditoire est admiratif. Il paraît convaincu. C'est le Ministre qui vient tempérer cet enthousiasme :
- Votre thèse est intéressante, Jacket. Hélas, si l'assassin du centre commercial voulait couper la piste qui remontait jusqu'à lui, il a réussi. La mort de Nache n'accrédite votre théorie que si vous savez qui était le tireur. Sinon, il sera difficile d'écarter l'hypothèse que c'était Didier Dattaque qui était réellement visé.
Si vous avez les mots-codes PRIZAD et KILLOV, et si vous avez trouvé le fusil du tireur, rendez-vous au 158.
Si vous avez les mots PRIZAD et KILLOV, mais n'avez pas trouvé le fusil, rendez-vous au 47.
Si vous avez seulement le mot KILLOV et si vous avez trouvé le fusil, rendez-vous au 488.
Si vous avez seulement le mot KILLOV et n'avez pas trouvé le fusil, rendez-vous au 62.
Si vous n'avez pas le mot KILLOV, mais pensez savoir qui est le tireur, dites-le au 590. Si vous ignorez qui est le tueur, votre thèse s'effondre ; rendez-vous au 631.