Vous êtes à présent seul dehors. Tous les autres convives sont à l'intérieur à danser. Les jardins sont déserts. C'est le silence complet, à peine troublé par les stridulations de quelques insectes. Vous marchez entre deux massifs de roses, l'œil et l'oreille aux aguets, au cas où un intrus profiterait du moment pour se glisser en cachette dans l'ambassade. Vous atteignez l'arrière du bâtiment, et vous remarquez que la façade, de ce côté, se trouve dans la pénombre la plus complète. Aucune lampe n'est allumée, et la lune est loin d'être pleine.

C'est alors que vous distinguez quelque chose d'intéressant. On a bougé. C'est une ombre ! Elle se faufile le long du mur. Ici, le sol de la cour n'est pas en gravier, mais en gazon ; les bruits de ses pas sont étouffés. Vous la suivez du regard, en prenant soin de ne pas faire de bruit, pour qu'elle ne s'aperçoive pas de votre présence. Vous la voyez s'introduire dans l'ambassade par une porte-fenêtre.


Qu'allez-vous faire ?

Suivre l'ombre ? (rendez-vous pour cela au 755)

Retourner dans la salle de réception pour tenter d'y repérer quelqu'un ? (rendez-vous au 628)