Paragraphe 295
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Vous rappelez que Laurent n'a pas d'alibi pour le soir du meurtre. Il a très bien pu se cacher dans le bureau de son patron avant qu'il n'y entre, à 20h. Quand ce dernier s'est enfermé à l'intérieur, Laurent pouvait commettre le crime et préparer la mise en scène avec le X de sang.
- Une hypothèse intéressante, reconnaît Montanes. Mais comment Loyson est-il reparti du bureau après ? Il n'est pas resté à l'intérieur, vu que Nache est allé le chercher pour forcer la porte. Vous pensez qu'il est parti par la fenêtre, en montant sur le toit avec un grappin ?
- Je n'ai pas le souvenir que mon ancien camarade était si fort que ça en sport. Mais cela lui était plus simple que ça. Il savait que Nache finirait par s'inquiéter et irait chercher quelqu'un. Il savait que le garde du corps, qui ne l'aimait pas, irait plutôt chercher Robert Bolet. Il a profité de ce court laps de temps pour sortir du bureau, le refermer à clef et vite retourner dans son bureau, qui se situe dans la même aile du 9ème étage. Lorsqu'ils ont enfoncé la porte du bureau, il a profité que l'attention de tous soit attirée par la vue du cadavre et du sang pour remettre la clef dans la serrure, côté intérieur.
Un silence de mort règne dans la salle. Votre thèse se tient et Laurent est devenu livide. Mais Montanes n'est pas encore prêt à vous donner raison :
- Récapitulons votre théorie, Jacket : X n'existe pas, c'est un groupe de criminels différents qui jouent son rôle et c'est Laurent Loyson qui a tué son patron. Théorie qui ne repose sur aucune preuve matérielle ni aucun aveu, je le souligne. Maintenant, allons plus loin : qui a transmis les plans à l'ambassade ? Était-ce Loyson lui-même ou l'un de ses complices ?
Si vous répondez qu'il s'agit :
De Laurent Loyson lui-même, rendez-vous au 264.
D'Anne-Sophie Dattaque, rendez-vous au 717.
De Robert Bolet, rendez-vous au 111.
De Didier Dattaque, rendez-vous au 330.
De Nelson Delmas, rendez-vous au 471.
De Mlle Zadilova (si vous la connaissez), rendez-vous au 155.
D'une autre personne, rendez-vous au 590 pour révéler son nom.
- Une hypothèse intéressante, reconnaît Montanes. Mais comment Loyson est-il reparti du bureau après ? Il n'est pas resté à l'intérieur, vu que Nache est allé le chercher pour forcer la porte. Vous pensez qu'il est parti par la fenêtre, en montant sur le toit avec un grappin ?
- Je n'ai pas le souvenir que mon ancien camarade était si fort que ça en sport. Mais cela lui était plus simple que ça. Il savait que Nache finirait par s'inquiéter et irait chercher quelqu'un. Il savait que le garde du corps, qui ne l'aimait pas, irait plutôt chercher Robert Bolet. Il a profité de ce court laps de temps pour sortir du bureau, le refermer à clef et vite retourner dans son bureau, qui se situe dans la même aile du 9ème étage. Lorsqu'ils ont enfoncé la porte du bureau, il a profité que l'attention de tous soit attirée par la vue du cadavre et du sang pour remettre la clef dans la serrure, côté intérieur.
Un silence de mort règne dans la salle. Votre thèse se tient et Laurent est devenu livide. Mais Montanes n'est pas encore prêt à vous donner raison :
- Récapitulons votre théorie, Jacket : X n'existe pas, c'est un groupe de criminels différents qui jouent son rôle et c'est Laurent Loyson qui a tué son patron. Théorie qui ne repose sur aucune preuve matérielle ni aucun aveu, je le souligne. Maintenant, allons plus loin : qui a transmis les plans à l'ambassade ? Était-ce Loyson lui-même ou l'un de ses complices ?
Si vous répondez qu'il s'agit :
De Laurent Loyson lui-même, rendez-vous au 264.
D'Anne-Sophie Dattaque, rendez-vous au 717.
De Robert Bolet, rendez-vous au 111.
De Didier Dattaque, rendez-vous au 330.
De Nelson Delmas, rendez-vous au 471.
De Mlle Zadilova (si vous la connaissez), rendez-vous au 155.
D'une autre personne, rendez-vous au 590 pour révéler son nom.