Ced vous avoue que, malgré sa profonde connaissance du marché des armes, il ne sait pas grand-chose sur Dattaque Industries. C'est une entreprise "trop réglo" pour lui. Il ne voit pas qui pourrait avoir voulu la mort de Louis Dattaque, et n'a eu vent d'aucun bruit à ce sujet. Cependant, quand vous lui parlez de FBSA Industries, il se montre plus disert.
- Dans le milieu, tout le monde sait que FBSA est un repaire de trafiquants d'armes, vous dit-il, en s'amusant de votre étonnement. Je ne sais pas si ça se fait dans le dos du PDG ou si c'est lui le grand chef, mais toute la production d'armes qui sort de leurs chaînes n'est pas déclarée à la vente. Des armes sont détournées pour être vendues en sous-main à la mafia russe et à d'autres. Je peux te dire, pour écumer tous les jours tous les sites web clandestins, qu'un paquet d'armes que tu peux y acheter provient des usines FBSA. Je ne sais pas si cette info peut t'aider dans ton enquête, mais si on découvrait que FBSA est mêlée au crime, je n'en serais guère étonné.
Votre indic vous a convaincu : l'entreprise concurrente de Dattaque Industries est louche. Vous le remerciez et prenez congé. Vous quittez le cinéma en tâchant de ne pas écraser une figurine de Yoda.
Si, la puce mise à l'oreille, vous voulez rendre une petite visite officieuse au siège de FBSA, rendez-vous au
8.
Si l'idée vous déplaît, d'autres actions se présentent à vous :
Vous pouvez retourner au siège de Dattaque pour voir si la police a retrouvé l'arme du crime, ou pour interroger certaines personnes ; rendez-vous au
623.
Si ce n'est déjà fait, vous pouvez aller voir Nache en garde à vue ; rendez-vous au
623 également vu que le commissariat se situe dans le même quartier.
Vous pouvez également vous rendre chez Didier Dattaque, au
174.