Lorsque vous dites avoir rendez-vous ce matin avec Robert Bolet, pour le débriefing de la fausse opération pour laquelle il vous avait enrôlé, les contre-espions retrouvent espoir. Leur commandant est sceptique : si l'opération était bidon, cette réunion de débriefing ne devrait pas avoir lieu. Néanmoins, sentant que vous tenez là une bonne idée, Cardoze veut que vous alliez au rendez-vous, accompagné d'un renfort armé. La police va vous conduire discrètement au port fluvial. Un groupe d'intervention anti-terroriste se tiendra prêt à intervenir à votre signal : un bip que le commissaire vous remet, muni d'un bouton qu'il vous suffira d'enclencher. Rangez-le précieusement dans votre poche. Si vous n'avez pas d'arme à feu chargée, Cardoze insiste pour que vous acceptiez un autre "cadeau" : un pistolet chargé de 6 balles. Si vous avez votre propre pistolet, il vous fournit les munitions pour en recharger complètement le barillet. Notez ces objets dans votre Journal d'Enquête. En outre, s'il ne l'est pas encore, soulignez le mot-code ASCONF. Enfin, si vous aviez loué un smoking hier et n'aviez pas encore eu le temps de vous changer, on vous en a laissé le temps avant de partir ; nul besoin de tenue chic pour vous rendre là où vous devez.

Maintenant, pour aller à votre rendez-vous avec Bolet, lisez-en l'heure à l'envers et rendez-vous au paragraphe portant le numéro ainsi obtenu. Si vous aviez eu rendez-vous à 9h03, par exemple, vous auriez dû vous rendre au paragraphe 309 pour gagner le lieu du rendez-vous.