Vous le remerciez de vous accorder un peu de son temps. Vous lui faites remarquer qu'il est difficile d'obtenir une audience avec lui et lui racontez la façon dont ses vigiles vous ont refoulé hier matin.
- Veuillez excuser mon personnel, Mr Jacket, dit-il amusé, mais c'est justement pour cela que je les paie ! Après l'annonce de la mort de Dattaque, une foule de journalistes et autres curieux s'est pressée aux portes de mon entreprise. J'ai donné l'ordre que tout ce beau monde soit congédié et se contente de mon communiqué de presse. Je ne me doutais pas que vous essaieriez de me contacter. Je n'ai accepté de répondre qu'aux officiers de police dûment assermentés. Je ne vois pas pourquoi, d'ailleurs, ils avaient besoin de m'interroger. Je suis complètement étranger à ce crime, et je vois mal comment je pourrais vous aider, eux et vous, à le résoudre.
- Pourtant, vous avez été l'un des premiers suspects cités par le commissaire chargé de l'enquête.
- Je me demande sur quels éléments il a pu baser sa suspicion. Mais j'ai constaté, effectivement, que depuis hier le siège de ma société a été constamment sous surveillance policière.
Lui demandez-vous : s'il était en bons termes avec son rival ? (rendez-vous pour cela au
576)
S'il sait que des gens louches travaillent chez lui, comme Anatole Zork ? (rendez-vous au
780)
Où il se trouvait le soir du meurtre de Louis Dattaque ? (rendez-vous au
691)
Qui, selon lui, a pu commettre ce crime ? (rendez-vous au
711)