À midi, vous mangez en compagnie de Cardoze à la brasserie située en face du building Dattaque. Le repas vous est gracieusement offert par le commissaire, qui a bien deviné combien vous aviez été peiné, il y a deux jours, d'avoir à payer un menu ici. Que de choses se sont passées depuis ! Vos théories ont dû évoluer sur toute cette affaire. Vous n'écoutez qu'à moitié votre voisin de table car vous êtes très occupé à vous goinfrer. Vous n'hésitez pas à lui demander si vous pouvez finir son plat de volailles. Vu l'état de vos finances, tout repas gratuit est bon à prendre. En fait, Cardoze vous parle des titres de la presse écrite matinale. Il vous montre la une d'un quotidien : "
Louis Dattaque a été assassiné !". Cette révélation fait la première page de tous les journaux. C'était à prévoir : après la tentative de meurtre sur le fils hier matin, le secret sur la mort du père allait être dur à garder. Vous parcourez les articles tout en vous bâfrant.
- Qu'en pensez-vous, Jacket ? vous demande le policier tout en manipulant sa vieille pipe.
- Certains journalistes préfèrent rester prudents et n'évoquent aucun suspect. D'autres avancent des thèses un peu farfelues. Rien de bien intéressant pour nous. Aucun ne semble avoir mené ses investigations plus loin que nous. Mais j'y songe : vous auriez préféré manger en terrasse ? Il fait un beau soleil...
- Vous me demandez ça parce que je triture ma pipe ? Ne vous faites pas de bile. C'est une manie que j'ai prise pour garder mon calme, les soirs, quand ma femme me bassine et me fait des scènes. J'essaie d'arrêter cette cochonnerie de tabac, en fait. Et puis, je préfère que nous dînions à l'intérieur, histoire de pouvoir parler loin des oreilles indiscrètes, si vous voyez ce que je veux dire.
Si vous avez le mot-code TRACAP, rendez-vous au
457.
Si vous n'avez pas ce mot, mais avez le mot TELBOL, rendez-vous au
193.
Vous n'avez aucun de ces mots, mais possédez ou avez possédé une boulette de papier ; si vous ne l'avez pas encore fait, vous pouvez choisir de parler à Cardoze du message inscrit dessus, au
364.
Sinon, si vous avez le mot SAFILA souligné, rendez-vous au
319.
À défaut, si vous avez le mot GANPRI, rendez-vous au
160.
défaut, si vous avez le mot COLILO souligné, rendez-vous au
496.
Sinon, rendez-vous au
803.