Dans un grand numéro d'hypocrisie digne d'un politicien, Nelson Delmas vous remercie d'avoir fait coffrer ces trafiquants d'armes qui opéraient au sein de son entreprise. Vous lui donnez le change :
- En fait, cela s'est fait de façon fortuite, expliquez-vous. Je n'enquêtais pas sur eux, mais sur la mort de votre concurrent Louis Dattaque.
- Je serais curieux de savoir quel rapport vous avez pu établir.
- Mr Dattaque a été assassiné, et je me demandais si le mobile n'était pas l'espionnage.
Votre interlocuteur fait des efforts surhumains pour demeurer impassible.
- Vous pensez que ces trafiquants sont liés au crime ? se contente-t-il de s'enquérir.
- Qu'en pensez-vous ?
- D'après ce que je sais, ils ne se livraient qu'à du trafic, pas à des manuvres de grande importance. C'est du menu fretin. Vous faites fausse piste.
Si vous parlez de Sergueï Popinski, rendez-vous au
303.
Si vous lui demandez s'il a une idée de qui a tué Louis Dattaque, rendez-vous au
697.
Si vous orientez la conversation sur l'attentat contre Didier Dattaque de ce matin, rendez-vous au
344.