Tout le monde dans la salle vous regarde avec des yeux ronds. Personne ne s'attendait à ce que vous sortiez ce nom. Anne-Sophie pousse un cri de surprise mais ne parvient rien à répondre quand le Ministre se tourne vers elle. C'est Laurent qui prend sa défense, se disant outré de cette accusation. Didier, lui, paraît amusé que vous discréditiez sa sœur. Avant même que vous n'ayez pu vous expliquer, Montanes vous tombe dessus :

- Cette idée est grotesque ! On sait très bien que l'Agent X est un homme. Ça fait des années que je le traque, et à chaque fois que j'ai pu l'apercevoir, je n'ai peut-être pas distingué ses traits, mais j'ai constaté que j'avais affaire à un homme. Ou alors, si c'était une femme, elle avait un physique de déménageur !

- Votre vue est peut-être mauvaise, mon commandant, lui retournez-vous.

- Oh oh, mais je sais ce que j'avance, se justifie le contre-espion. Vous semblez avoir oublié la vidéo que je vous ai montrée, celle que j'ai tournée à l'ambassade le soir du bal. (il se tourne vers le Ministre :) J'ai pu filmer subrepticement l'Agent X en train de transmettre les plans à Sakadov. C'était un homme qui était avec l'ambassadeur dans son bureau. Je peux vous montrer la vidéo pour en attester. Et de toutes façons, ce ne sera pas nécessaire. Mlle Dattaque a un alibi en béton : elle était au conseil d'administration hier après-midi, devant de nombreux témoins, alors que l'Agent X était au même moment à son QG. Il vous a même parlé, Jacket ! Vous n'avez décidément aucune mémoire !


Que répliquez-vous ?

Que X ne se trouvait pas physiquement à l'entrepôt, en réalité ? (rendez-vous au 683)

Que ce n'était pas Anne-Sophie au conseil d'administration, mais une personne déguisée ? (rendez-vous au 613)