Paragraphe 482
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- J'ai procédé à un examen de l'extérieur du bâtiment, indiquez-vous. Compte tenu de la configuration des lieux et de la physionomie de l'immeuble, il est rigoureusement impossible à un individu de descendre en rappel le long du mur depuis le 9ème étage sans être repéré et sans laisser de traces. Il n'y a aucune marque sur le mur ! Ou alors notre assassin est Superman, il s'est enfui en volant, l'affaire est bouclée !
Ignorant vos sarcasmes, le garde du corps n'en démord pas. Il maintient dur comme fer que personne n'est passé par la porte.
- Elle était fermée de l'intérieur, vous rappelle-t-il. Mr Dattaque n'aurait pas ouvert au premier venu, je peux vous l'assurer ! Et, de toutes façons, je l'aurais forcément remarqué, comme je vous le répète depuis tout à l'heure.
- Dans ce cas, comment l'assassin a-t-il procédé ?
- Il... il existe une possibilité, finit par dire Nache, d'une voix peu assurée.
Devant votre visage interrogateur, il explique que, si l'assassin n'a pas pu grimper ou descendre les 9 étages de l'immeuble par la façade extérieure, il a pu monter sur le toit et descendre en rappel avec un filin. Cette hypothèse est déjà plus crédible. Vous avez remarqué tout à l'heure que le haut de l'immeuble était mal éclairé par les lumières de la cour. L'assassin a très bien pu opérer de cette façon sans se faire voir. Il y a juste un détail qui vous gêne :
- Si cette hypothèse s'avérait exacte, reprenez-vous, cela voudrait dire que l'assassin était déjà à l'intérieur du bâtiment, pour qu'il ait pu avoir accès au toit. Dans ce cas, il devait avoir un badge magnétique pour entrer.
- Sans... sans doute, acquiesce Nache penaud.
Vous avez le sentiment d'avoir découvert un indice important. Notez le mot-code "DECONT" dans votre Journal d'Enquête ; si vous l'avez déjà, remplacez-le par le mot "PRIDEF". Si vous aviez déjà le mot PRIDEF, ne notez rien.
Il est midi. Vous avez rendez-vous avec le commissaire Cardoze. Vous donnez congé au garde du corps, qui est soulagé de ne pas avoir à répondre à une question de plus. Vous sortez de l'entreprise et rejoignez le commissaire à la brasserie, au 29.
Ignorant vos sarcasmes, le garde du corps n'en démord pas. Il maintient dur comme fer que personne n'est passé par la porte.
- Elle était fermée de l'intérieur, vous rappelle-t-il. Mr Dattaque n'aurait pas ouvert au premier venu, je peux vous l'assurer ! Et, de toutes façons, je l'aurais forcément remarqué, comme je vous le répète depuis tout à l'heure.
- Dans ce cas, comment l'assassin a-t-il procédé ?
- Il... il existe une possibilité, finit par dire Nache, d'une voix peu assurée.
Devant votre visage interrogateur, il explique que, si l'assassin n'a pas pu grimper ou descendre les 9 étages de l'immeuble par la façade extérieure, il a pu monter sur le toit et descendre en rappel avec un filin. Cette hypothèse est déjà plus crédible. Vous avez remarqué tout à l'heure que le haut de l'immeuble était mal éclairé par les lumières de la cour. L'assassin a très bien pu opérer de cette façon sans se faire voir. Il y a juste un détail qui vous gêne :
- Si cette hypothèse s'avérait exacte, reprenez-vous, cela voudrait dire que l'assassin était déjà à l'intérieur du bâtiment, pour qu'il ait pu avoir accès au toit. Dans ce cas, il devait avoir un badge magnétique pour entrer.
- Sans... sans doute, acquiesce Nache penaud.
Vous avez le sentiment d'avoir découvert un indice important. Notez le mot-code "DECONT" dans votre Journal d'Enquête ; si vous l'avez déjà, remplacez-le par le mot "PRIDEF". Si vous aviez déjà le mot PRIDEF, ne notez rien.
Il est midi. Vous avez rendez-vous avec le commissaire Cardoze. Vous donnez congé au garde du corps, qui est soulagé de ne pas avoir à répondre à une question de plus. Vous sortez de l'entreprise et rejoignez le commissaire à la brasserie, au 29.