Lord glousse de plaisir :

- Tu veux savoir ce que je mijote ? Ha ha ha, je pensais ton employeur mieux informé que ça. Je vais te dire mes plans : je voulais damer le pion à Louis Dattaque, mais ton patron l'Agent X est venu troubler mes plans. Alors maintenant je veux damer le pion à X lui-même.

Vous restez interdit.

- Oh, mais bien sûr, tu voulais avoir le détail des opérations que je prépare, c'est ça ? Tu m'excuseras de ne pas accéder à ta demande.

Et il rit de nouveau.

- On le tue, Lord ? demande l'un de ses hommes, armé d'un revolver.

- Non, je veux qu'il aille rapporter mes paroles à X. Pour l'heure, enfermez-le.

Les malandrins vous amènent cette fois-ci dans un débarras sans fenêtre et vous jettent au milieu des balais. Ils ferment la porte à clef et vous les entendez s'éloigner. Vous voilà dans de beaux draps ! Vous avez découvert quelque chose d'on ne peut plus louche, on vous parle d'un mystérieux "Agent X" dont le nom ne vous évoque que des mauvais films d'espionnage et vous vous retrouvez enfermé dans un cagibi au milieu des produits d'entretien. Mais, selon ce mystérieux Lord, trafiquant d'armes masqué, cet Agent X pourrait être mêlé à ce qui est arrivé à Louis Dattaque. Vous commencez à voir sous un angle nouveau le X tracé sur le mur du bureau de la victime. Le fait que vous ayez découvert ces gangsters est un point important de votre enquête. Mais il ne vous servira à rien de le savoir si vous n'êtes plus en vie pour le raconter. Une chance : ils vous prennent pour un malfrat vous aussi et ne se doutent pas que vous allez tout raconter à la police. Ils ne vous auraient pas laissé en vie sinon. Pour l'heure, il vous faut sortir d'ici, mais comment ?


Si vous avez une clef passe-partout sur vous, rendez-vous au 845.

Si vous n'en avez pas, rendez-vous au 491.