- Vous ne devinerez jamais qui m'a envoyé ce texto.

Le commissaire vous regarde avec curiosité. Vous lui racontez l'histoire depuis le début : votre intrusion au siège de FBSA Industries, votre capture par Lord et ses hommes, votre pacte passé avec lui et tout ce qui s'en est ensuivi. Votre allié vous écoute avec attention et gravité, conscient que vous avez risqué votre vie pour obtenir ces informations. Il n'en revient pas, mais vous croit sur parole.

- Vous avez bien fait de ne pas garder tout ça pour vous, Jacket. Lors de votre intrusion, vous les avez entendus parler de "récupérer les plans de Dattaque" ? Voilà qui est intéressant.

- Et ce sont des trafiquants d'armes ! Ils fournissent un mafieux russe. Leurs propos étaient sans équivoque.

- Ils vous attendent dans la brasserie d'en face, vous ont-ils dit ?

- Oui, mais je ne vois aucun mouvement suspect, répondez-vous en regardant par la fenêtre.

- On va voir ça.


Cardoze et vous convenez d'un plan : vous vous rendez seul à la brasserie, où des policiers en civil vous ont précédé. Leur rôle : arrêter ceux qui prendront contact avec vous, à votre signal. Vous restez un bonne demi heure à attendre, mais rien n'arrive. Vous retournez auprès du commissaire.

- Ils ont dû flairer quelque chose, vous plaignez-vous. Le texto disait de descendre "immédiatement", ça doit être ça.

- Ce sont des malins. Mais maintenant, vous êtes grillé auprès d'eux. Je vais mettre le siège de FBSA sous surveillance. Et je vais faire poster des hommes à moi près de votre cabinet pour dissuader d'éventuels tueurs à gages.

Vous louez sa prévoyance. Notez le mot-code "WATDEL" dans votre Journal d'Enquête.

- Hélas, je ne peux pas faire mieux que ça. Impossible d'intervenir à FBSA. Je n'ai que votre parole. Ce n'est pas une preuve. Et vous avez appris ces informations en vous rendant coupable d'effraction, de votre propre initiative, sans l'accord des autorités. Ça ne tiendra pas devant un juge. Je vous conseille de ne plus chercher à prendre contact avec ce Lord, ça devient trop risqué.


Si vous avez regardé des vidéos avec Montanes, rendez-vous au 168. Sinon, rendez-vous au 735.