- Mais vous semblez être venu me voir pour une autre raison, Jacket, je me trompe ?
Vous acquiescez et lui exposez vos soucis avec Lord, alias Nelson Delmas. Vous narrez votre intrusion au siège de FBSA Industries, votre capture par Lord et ses hommes, votre pacte passé avec lui et votre rencontre cet après-midi. Votre allié vous écoute avec attention et gravité, conscient que vous avez risqué votre vie pour obtenir ces informations. Il n'en revient pas, mais vous croit sur parole.
- Vous avez bien fait de venir me voir sans plus attendre. Je vais mettre Delmas et le siège de FBSA sous surveillance. Et je vais faire poster des hommes à moi près de votre cabinet pour dissuader d'éventuels tueurs à gages.
Vous déglutissez en entendant quelqu'un d'autre que votre petit doigt confirmer le danger que vous couriez. Notez le mot-code "WATDEL" dans votre Journal d'Enquête.
- Lors de votre intrusion, vous les avez entendus parler de "récupérer les plans de Dattaque" ? s'interroge Cardoze. Voilà qui est intéressant.
- Et ce sont des trafiquants d'armes ! Ils fournissent un mafieux russe. Leurs propos étaient sans équivoque.
- Hélas, nous ne pouvons pas intervenir. Nous n'avons que votre parole. Ce n'est pas une preuve. Et vous avez appris ces informations en vous rendant coupable d'effraction, de votre propre initiative, sans l'accord des autorités. Ça ne tiendra pas devant un juge. Je vous conseille pour l'instant de ne plus chercher à prendre contact avec Lord, c'est devenu trop risqué.
Si vous avez une boulette de papier et voulez lui parler du message inscrit dessus, rendez-vous au
644.
Si vous avez le mot-code ABUXER mais ne disposez pas d'invitation pour une soirée huppée, rendez-vous au
833.
Si vous n'avez pas ce mot mais êtes passé au bureau de Robert Bolet cet après-midi, rendez-vous également au
833.
Sinon, le commissaire est attendu ; laissez-le et rendez-vous au
182.