L'orchestre a fini de jouer, la danse s'est arrêtée. Mlle Zadilova vous remercie de la lui avoir offerte. Sur invitation de l'ambassadeur, les convives vont prendre des rafraîchissements. Votre cavalière vous invite à prendre un verre avec elle. La main dans son dos, vous l'accompagnez au buffet. Si vous aviez le mot-code ZADENF souligné, effacez le soulignement.

Vous vous servez tous les deux du punch et, après en avoir bu une gorgée salvatrice, vous demandez à la belle mercenaire :

- Il y a une question que je me pose sur vous et dont je ne sais toujours pas la réponse.

- Dites toujours.

- Depuis le début, je vous connais comme "Mlle Zadilova", mais vous avez bien un prénom, non ? Quel est-il ?

Votre interlocutrice reste muette. En fait, elle n'écoute pas ce que vous dites. Elle est occupée à regarder quelque chose. Se rendant compte que vous attendez une réponse de sa part, elle détourne vite le regard comme si de rien n'était et s'excuse.

- J'avais l'esprit ailleurs, pardon, je n'ai pas compris ce que vous me disiez. Ce punch est excellent, n'est-il pas ? Vous m'excusez, il faut que j'aille parler avec Mr Bolet.

Vous jetez rapidement un œil dans la direction où elle regardait, pour savoir ce qui pouvait tant l'intéresser. Vous voyez un homme d'allure quelque peu guindée dans son smoking classique, qui se tient seul dans un coin discret de la salle, un verre à la main, l'autre main dans sa poche. Vous l'observez discrètement : il doit avoir la quarantaine, il a les cheveux noirs gominés et des traits sévères. Vous vous apercevez qu'il regarde l'ambassadeur, en s'efforçant de ne pas en avoir l'air. Des convives passent alors devant lui et vous le cachent.


Si vous souhaitez ne pas perdre cet homme de vue, rendez-vous au 580.

Si vous voulez suivre Mlle Zadilova, rendez-vous au 329.

Si vous préférez rester où vous êtes et regarder la salle dans son ensemble, rendez-vous au 11.