Nils Jacket Contre l'Agent X, le site officiel des Enquêtes de Nils Jacket

Paragraphe 619

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- L'arme du crime était un pistolet avec silencieux, expliquez-vous. Le fait que l'on ait réussi à l'introduire dans le bâtiment prouve que le meurtre était prémédité. Nache était le complice de Mlle Dattaque, ce que sa mort tendrait à prouver. Elle lui avait peut-être promis de se remettre avec lui. À moins qu'elle n'ait juste joué de son charme pour le distraire, lorsqu'elle est sortie du bureau de son père, pour qu'il ne pense pas à regarder à l'intérieur. Ensuite, elle a obtenu l'aide en toute bonne foi de Laurent, lui aussi amoureux d'elle, sans qu'il ne sache qu'il aidait la vraie meurtrière.

Vous avez mis le doute à votre ami mais, sous le regard larmoyant d'Anne-Sophie, il vole à nouveau à son secours et proteste : vous n'avez aucune preuve matérielle de ce que vous avancez. Ce qui est vrai, mais le Ministre, ne voulant négliger aucune piste, souhaite entendre la suite de votre démonstration. Montanes en profite pour reprendre la parole :

- Récapitulons votre théorie, Jacket : X n'existe pas, c'est un groupe de criminels différents qui jouent son rôle et celle qui a tué Louis Dattaque, c'est sa fille Anne-Sophie. Théorie qui ne repose sur aucune preuve matérielle ni aucun aveu, je le souligne. Maintenant, allons plus loin : qui a transmis les plans à l'ambassade ? Était-ce Anne-Sophie Dattaque elle-même ou l'un de ses complices ?


Si vous répondez qu'il s'agit :

D'Anne-Sophie elle-même, rendez-vous au 717.

De Laurent Loyson, rendez-vous au 264.

De Didier Dattaque, rendez-vous au 542.

De Robert Bolet, rendez-vous au 515.

De Nelson Delmas, rendez-vous au 471.

De Mlle Zadilova (si vous la connaissez), rendez-vous au 155.

D'une autre personne, rendez-vous au 590 pour révéler son nom.