Vous vous engagez dans un couloir quand vous tombez nez à nez avec une nouvelle escouade de vigiles. Ils vous demandent ce que vous faites là et ne croient pas du tout à votre couplet sur la maintenance. Ils pensent que vous êtes un journaliste plus malin que les autres et vous éconduisent en même temps que vos soi-disant collègues. Une chance qu'ils se soient cru si sûrs d'eux à votre sujet et ne vous aient pas pris pour un espion. Votre traitement aurait été plus rude. Mais votre projet d'infiltration tombe à l'eau. Inutile aussi désormais de vouloir demander une entrevue avec Nelson Delmas. Pour l'instant.

On dirait que leur dispositif de sécurité a été renforcé depuis votre dernière venue. Quelle menace se sont-ils mis à craindre ?


De retour à votre voiture, vous retrouvez votre imper et votre feutre. L'après-midi n'est pas terminé ; d'autres actions s'offrent à vous. Si vous ne l'avez pas déjà fait, vous pouvez :

Vous rendre chez Didier Dattaque, au 174.

Aller rendre visite à votre indic spécialiste des armes, au 64.

Retourner au siège de Dattaque pour voir si la police a retrouvé l'arme du crime, ou pour interroger certaines personnes, au 623.

Aller voir Nache en garde à vue, au 623 également vu que le commissariat se situe dans le même quartier.