Vous continuez d'espionner l'ambassade, mais vous ne voyez rien de particulier derrière ses hautes haies. Le soir tombe bientôt et le manque de lumière doit vous faire renoncer à votre planque. Vous rentrez bredouilles au commissariat.
- Ces voitures étaient peut-être une piste à suivre..., déplorez-vous.
- Peut-être, admet Cardoze, stoïque. De toutes façons, on verra Sakadov demain matin. Je sais qu'il a répondu favorablement à l'invitation du Ministre de l'Intérieur ; ils ont rendez-vous et nous sommes invités aussi.
Rendez-vous pour l'instant au
522.