Vous vous affalez dans votre cabinet, épuisé par cette nouvelle journée d'enquête. Pour apaiser votre faim, vous pouvez soit vous rabattre sur le poulet-mayonnaise dans votre réfrigérateur, si vous ne l'avez pas déjà mangé, soit commander quelque chose à manger. Pizza à 5, menu fast-food à 8, traiteur à 20, en fonction de l'argent qu'il vous reste (modifiez votre Journal d'Enquête selon votre choix). Si vous êtes fauché et n'avez plus rien au frigo, c'est soirée jeûne et ronflette anticipée qui vous attendent.
Vous finissez devant la télévision. Un reportage sur l'enterrement de Louis Dattaque au journal télévisé. Il y avait une caméra dans l'église, qui a filmé aussi bien l'oraison du curé que l'émotion d'Anne-Sophie Dattaque au pupitre. La présentatrice du JT a invité de soi-disant spécialistes en géopolitique qui avancent les idées les plus extravagantes sur les commanditaires du meurtre. Vous en avez vite soupé et éteignez le poste. Avec de telles âneries, les romans ont encore de beaux jours devant eux.
Si vous aviez laissé des armes ou des objets dans le tiroir de votre bureau, vous pouvez les récupérer. Et, si vous le souhaitez, vous pouvez y en laisser d'autres. À vous de voir. Notez bien dans votre Journal d'Enquête quel objet se trouve où. Si vous avez un téléphone portable, vous pouvez le mettre à charger pour la nuit.
La fatigue accumulée depuis le début de cette enquête finit par avoir raison de vous. Vous tombez de sommeil sur votre canapé et vous vous endormez aussitôt comme une masse. Rendez-vous au
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