L'individu tourne la tête pour voir si quelqu'un le voit. Vous retenez votre respiration et restez parfaitement immobile. Il ne vous a pas repéré. Il est entré. Comme il ne risque plus de vous voir, vous sortez de votre cachette (un volumineux buisson en forme d'octaèdre) et, sans faire de bruit, vous gagnez la porte-fenêtre, que vous franchissez à votre tour. Cette issue donne sur un petit vestibule d'où partent deux couloirs plongés dans la pénombre. Vous apercevez l'ombre tourner au bout de celui de droite. Vous avancez prudemment, à pas de loup sur la moquette. Au détour du couloir, vous ne voyez plus aucune trace du mystérieux intrus. Il n'a pas pu aller bien loin, ce nouveau corridor est très long. Il a dû franchir l'une des portes qui s'ouvrent dans le mur de droite, ou bien gravir l'escalier de service sur la gauche, aux marches en bois peint.
Jetez-vous un il dans les pièces ? (rendez-vous pour cela au
163)
Ou bien montez-vous l'escalier ? (au
226)