Anne-Sophie a un rictus dédaigneux :
- Je ne pense pas qu'il y ait besoin de tuer Didier pour l'empêcher de devenir le nouveau PDG de Dattaque. Je compte bien m'y opposer. Au conseil d'administration, mon frère ne parviendra jamais à rallier une majorité d'actionnaires à sa cause. Il n'est pas crédible.
Elle vous demande alors de la laisser seule, ce à quoi vous consentez, conscient qu'elle ne vous dira rien de plus. En sortant de la morgue, vous constatez que l'après-midi est déjà bien avancé.
Rendez-vous au
182.